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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/1913
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dc.contributor.authorAwona, S.
dc.contributor.authorJiofack, R.
dc.contributor.authorMbouwe, I.
dc.contributor.authorFoe, B.
dc.contributor.authorChoungo, P.
dc.date.accessioned2021-02-12T18:11:04Z-
dc.date.accessioned2020-10-14T10:57:32Z
dc.date.available2021-02-12T18:11:04Z-
dc.date.available2020-10-14T10:57:32Z
dc.date.issued2020-10-15
dc.identifierhttps://doi.org/10.5281/zenodo.4044177fr_FR
dc.identifier.urihttps://dicames.online/jspui/handle/20.500.12177/1913-
dc.description.abstractLes exploitants artisanaux possèdent 86% du marché de bois dans la ville de Yaoundé générant ainsi une recrudescence des menuiseries artisanales informelles. Le caractère informel de l’activité présagerait une négligence de l’aspect santé et sécurité de ses ouvriers. L’objectif de l’étude a donc été d’évaluer les risques pour la santé et la sécurité des ouvriers desdites menuiseries. Ceci, suivant la méthode d’évaluation des risques de l’Institut National de la Recherche et de la Sécurité (INRS) pour la prévention des accidents de travail et des maladies professionnelles. Pour cela, une enquête exploratoire a été menée auprès de 50 ouvriers de 6 menuiseries artisanales dans 4 arrondissements de la capitale afin de recueillir des informations sur leurs conditions de travail. Les résultats obtenus révèlent que les risques liés à l’usage des machines dangereuses, causant des dommages tels que les coupures de doigt (62%), les lésions oculaires (12%) et la perte de doigt (6%), sont répertoriés. Egalement, il est à noter que 95% des ouvriers ressentent des effets indésirables sur leur santé tels que l’irritation des yeux, les saignements nasaux, les éruptions cutanées lors des opérations de transformation du bois des espèces telle que Baillonnella toxisperma et Piptadeniastrum africanum principalement. En ce qui concerne la gestion de la sécurité et la santé au travail dans les menuiseries, il ressort que le port des Equipements de Protection Individuelle (EPI) est la seule mesure mise en œuvre par les employeurs. Cependant, les EPI sont peu portés par les ouvriers qui, par ailleurs, jugent ces équipements inappropriés voire inconfortables. Les contraintes financières et le manque d’expérience des ouvriers sont respectivement les principaux obstacles et facteurs des risques identifiés. Des méthodes préventives ont été préconisées sur le plan organisationnel, technique et humain.fr_FR
dc.format.extent82-87fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherReseau des Institutions de Formation Forestière et Environnementale d'Afrique Centrale (RIFFEAC)fr_FR
dc.subjectSanté au travailfr_FR
dc.subjectFacteurs de risquesfr_FR
dc.subjectSécurité au travailfr_FR
dc.subjectEvaluation des risquesfr_FR
dc.subjectRisquesfr_FR
dc.subjectMenuiseriesfr_FR
dc.titleRisques pour la santé et la sécurité des ouvriers intervenant dans la chaine de transformation du bois dans quelques menuiseries artisanales des arrondissements de Yaoundé 6, 4, 3, 2 dans la Région du Centre au Camerounfr_FR
dc.typeArticlefr_FR
dcterms.bibliographicCitationRevue Scientifique et TEchnique Forêt et Environnement du Bassin du Congo - ISSN 2409-1693_eISSN 2412-3005fr_FR
Collection(s) :Articles publiés dans des revues à comité scientifique

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Art. Awono S. et al. pp82-87 RSTFEBC_ISSN 2409-1693_eISSN 2412-3005_-RIFFEAC-Volume 15.pdf912.71 kBAdobe PDFMiniature
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