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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/2163
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dc.contributor.authorWomeni, M.H.-
dc.contributor.authorAvana, T.M.L.-
dc.contributor.authorDjekonbe, P.-
dc.date.accessioned2021-02-12T22:19:06Z-
dc.date.accessioned2019-10-19T08:52:53Z-
dc.date.available2021-02-12T22:19:06Z-
dc.date.available2019-10-19T08:52:53Z-
dc.date.issued2018-10-01-
dc.identifierhttp://dx.doi.org/10.5281/zenodo.1437210fr_FR
dc.identifier.urihttps://dicames.online/jspui/handle/20.500.12177/2163-
dc.description.abstractAu Tchad, Vitellaria paradoxa est une espèce à usages multiples qui, malheureusement, est souvent la cible de multiples pressions parasitaires et anthropiques. L’objectif de la présente étude est de contribuer à la gestion durable de l’espèce au Tchad à travers une caractérisation des facteurs responsables de ces pressions. Pour y parvenir, un inventaire des arbres parasités par les espèces de Loranthaceae ainsi qu’une évaluation des indices de pressions anthropiques ont été réalisés dans sept des vingt-trois régions administratives du Tchad. 512 unités de comptage de 100 m x 100 m ont été implantées dans 128 villages à travers lesquelles 4 712 arbres ont été caractérisés. Le nombre de touffes de plantes parasites par arbre a été recensé, les indices d’écorçage des tiges et d’élagages anarchique des branches ont été relevés. Les résultats révèlent que les peuplements de karité sont fortement parasités avec une densité moyenne de 17 touffes de parasites par arbre. La densité moyenne des indices de pression anthropique par hectare est de 14 pour l’écorçage, 6 pour les tiges percées, 7 pour les tiges brulées et de 4 pour l’élagage. Le taux moyen d’infestation parasitaire varie en moyenne de 54% dans les systèmes cultivés à 81% dans les milieux naturels (savanes et jachères). L’analyse de Classification Ascendante Hiérarchique a permis de regrouper les bassins de production en trois types de parcs à karité suivant un gradient de dégradation. Il ressort de ces résultats que les principaux facteurs qui dégradent les parcs à karité au Tchad sont l’infestation des Loranthaceae et l’écorçage des tiges. Pour la gestion durable des ressources du karité au Tchad, cette étude recommande le développement et la promotion des méthodes de lutte contre les infestations de Loranthacées et une sensibilisation des populations pour la domestication et l’adoption des méthodes rationnelles d’écorçage et d’élagage.fr_FR
dc.format.extent39-48fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherRéseau des Institutions de Formation Forestière et Environnementale d'Afrique Centrale - RIFFEACfr_FR
dc.subjectVitellaria paradoxafr_FR
dc.subjectLoranthaceaefr_FR
dc.subjectindice de pressionfr_FR
dc.subjectTchadfr_FR
dc.subjectClassification Ascendante Hierarchique (CAH)fr_FR
dc.titleInfluence des pressions parasitaires (Loranthaceae) et anthropiques sur la dynamique des peuplements du karité (Vitellaria paradoxa Gaertn. C. F.) au Tchadfr_FR
dc.typeArticlefr_FR
dcterms.bibliographicCitationRevue Scientifique et Technique Forêt et Environnement du Bassin du Congo - ISSN: 2409-1693 / e-ISSN : 2412-3005fr_FR
Collection(s) :Articles publiés dans des revues à comité scientifique

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