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dc.contributor.authorManfo, D. A.-
dc.contributor.authorYouta, H. J.-
dc.contributor.authorTchindjang, M.-
dc.date.accessioned2021-02-12T23:55:05Z-
dc.date.accessioned2019-05-15T16:26:45Z-
dc.date.available2021-02-12T23:55:05Z-
dc.date.available2019-05-15T16:26:45Z-
dc.date.issued2015-10-
dc.identifier.urihttps://dicames.online/jspui/handle/20.500.12177/2260-
dc.description.abstractEn raison de la forte pression humaine sur les milieux naturels, les systèmes agroforestiers dans le monde se présentent aujourd’hui à la fois comme une technique de conservation de la biodiversité et de satisfaction des besoins socioéconomiques des populations. Dans les régions tropicales, l’agroforesterie est importante à plus d’un titre pour faire l’objet d’une étude spécifique. Ainsi, autour de la ville d’Obala dans la Région du Centre (Cameroun), les techniques agricoles sont dominées par l’agroforesterie. Dans les champs et les plantations de cette région, les arbres sont étroitement associés aux plantes cultivées selon des densités variables dans le temps et dans l’espace. Cet article examine la dynamique des peuplements végétaux dans les systèmes agroforestiers autour d’Obala, ville caractérisé par la mosaïque forêt-savane. L’objectif de cette étude est de comprendre le fonctionnement du couvert végétal en réaction aux activités anthropiques. Cette recherche s’appuie sur des relevés botaniques effectués sur des placettes et des données obtenues de la bibliographie. Le traitement des données collectées montre que l’association des arbres et des cultures caractérise une occupation des sols très hétérogènes sur le site. Elle se traduit par une mosaïque de jachères, de jardins de case, et de plantations de cacaoyers de tailles et d’âges variés. A l’échelle des parcelles d’agroforêt, la biodiversité floristique est négativement affectée dans les champs comparés à la forêt mature. En se référant à trois parcelles expérimentales de 1 ha chacune, les analyses montrent que la forêt mature compte 1133 individus pour 161 espèces appartenant à 39 familles contre 445 individus appartenant à 69 espèces et 24 familles dans la jachère de 20 ans. Dans la cacaoyère, on dénombre 834 individus appartenant à 26 espèces pour 14 familles. Cependant, la diversité biologique dans les agroforêts à Obala demeure importante comparée aux pratiques agricoles dans les champs défrichés à blanc.fr_FR
dc.format.extent22-35fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherRéseau des Institutions de Formation Forestière et Environnementale d'Afrique Centrale - RIFFEACfr_FR
dc.subjectCamerounfr_FR
dc.subjectrelevés botaniquesfr_FR
dc.subjectObalafr_FR
dc.subjectRIFFEACfr_FR
dc.subjectbiodiversitéfr_FR
dc.subjectAgroforesteriefr_FR
dc.subjectSystèmes agroforestiersfr_FR
dc.titleSystèmes agroforestiers et conservation de la biodiversité dans un milieu fortement anthropisé : le cas d’Obalafr_FR
dc.typeArticlefr_FR
dcterms.bibliographicCitationRevue Scientifique et Technique Forêt et Environnement du Bassin du Congo - ISSN / e-ISSN : 2412-3005fr_FR
Collection(s) :Articles publiés dans des revues à comité scientifique

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