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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/2409
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dc.contributor.authorRamdé, Tambi-
dc.date.accessioned2021-02-13T02:24:05Z-
dc.date.accessioned2019-11-21T16:50:43Z-
dc.date.available2021-02-13T02:24:05Z-
dc.date.available2019-11-21T16:50:43Z-
dc.date.issued2009-05-26-
dc.identifier.urihttps://dicames.online/jspui/handle/20.500.12177/2409-
dc.description.abstractDans ce travail, nous avons étudié la composition chimique, la microstructure et le comportement à la corrosion aqueuse de quelques alliages d’aluminium recyclés dans l’artisanat. Pour ce faire, cinq types d’échantillons ont été confectionnés suivant une méthodologie artisanale dans trois ateliers à partir du matériau brut de recyclage servant à la fabrication des ustensiles de cuisine. La morphologie de la surface des échantillons a pu être décrite à partir des observations au microscope métallographique. Il apparait que leurs surfaces présentent une grande rugosité directement liée aux irrégularités des parois des moules utilisés pour la mise en forme. Elles présentent en outre des micropores peu profonds. La spectrométrie d’émission par ICP-AES (Inductively Coupled PlasmaAtomic Emission Spectroscopy) à permis d’analyser la composition chimique des alliages. Cette analyse a montré que les échantillons prélevés ont une composition assez variée en fer, cuivre, zinc, étain, manganèse… mais que la teneur en aluminium était comprise entre 87 et 98%. Ces teneurs sont inférieures à la norme recommandée dans les pays européens (99%) pour les objets en aluminium ou en alliages d’aluminium destinés au conditionnement des aliments. La diffraction de rayons X a permis d’identifier des phases cristallines dans les matériaux étudiés. L’aluminium a toujours été identifié comme phase principale ; mais d’autres phases secondaires dont la nature varie suivant l’atelier de fabrication ont été mises en évidence. Il s’agit de la greenalite (Fe3Si2O5(OH)4), de la silice (SiO2) du silicium (Si) et une phase du type CuAl2. Les tests de corrosion ont portés sur les mesures de pertes de masse et des mesures classiques en courant continu et alternatif. L’application de toutes ces méthodes a permis de comprendre que la résistance à la corrosion des échantillons était proportionnelle à la teneur en aluminium. Il existe, par effet d’accumulation, des risques potentiels sur la santé humaine pour ce qui concerne l’utilisation des marmites de cuisson de fabrication artisanale.fr_FR
dc.format.extent109fr_FR
dc.publisherUniversité de Ouagadougoufr_FR
dc.subjectAqueusefr_FR
dc.subjectCorrosionfr_FR
dc.subjectAluminiumfr_FR
dc.subjectArtisanatfr_FR
dc.subjectRecyclésfr_FR
dc.subjectAlliagesfr_FR
dc.titleEtude du comportement à la corrosion aqueuse des alliages d'aluminium recyclés dans l'artisanat pour la confection de marmitesfr_FR
dc.typethesefr_FR
Collection(s) :Thèses soutenues

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