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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/2624
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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorIbara, Jean Rosaire-
dc.contributor.authorBabéla, Jean Robert Mabiala-
dc.contributor.authorGassaye, Deby-
dc.contributor.authorIbara, Blaise Irenée Atipo-
dc.contributor.authorIkobo, Lucie Charlotte Atipo Ibara Ollandzobo-
dc.contributor.authorApendi, Philestine Clausina Ahoui-
dc.date.accessioned2021-02-13T05:57:06Z-
dc.date.accessioned2019-04-25T08:14:21Z-
dc.date.available2021-02-13T05:57:06Z-
dc.date.available2019-04-25T08:14:21Z-
dc.date.issued2017-
dc.identifierhttp://annalesumng.org/index.php/ssa/article/view/252fr_FR
dc.identifier.urihttps://dicames.online/jspui/handle/20.500.12177/2624-
dc.description.abstractLes ingestions de caustiques chez l’enfant sont préoccupantes du fait de l’augmentation de leur fréquence et des difficultés inhérentes à leur prise en charge.Objectif: d’analyser les aspects épidémiologiques des ingestions de caustiques chez l’enfant au CHU de Brazzaville.Patients et méthodes: Il s’est agi d’une étude prospective, réalisée dans les services de pédiatrie du Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2015. Tous les enfants ayant ingéré un produit caustique, et hospitalisés dans les services de pédiatrie pendant la période d’étude ont été inclus après l’obtention du consentement des parents ou tuteur légal. Les paramètres étudiés ont été : l’âge, le sexe, l’arrondissement d’habitation, la nature et le niveau d’étude du tuteur, la fratrie, le mode de procuration du produit, le récipient contenant le produit, les circonstances d’ingestion, le moment de l’ingestion, le lieu de l’ingestion et la nature du produit ingérée en utilisant le nom mentionné sur l’emballage de vente.Résultats: la fréquence des ingestions de caustique était de 0,8%. L’âge moyen était de 23,6 mois(extrêmes de 2 mois et 16 ans), soit un écart- type de 51,9, le sexe masculin était prédominant 39 cas (57,4%). La majorité des enfants provenaient de Talangaï, 17 cas (25%) ,de Ouénzé 9 cas (13,2%), Bacongo 10 cas (14,7%)). Quarante-deux parents (67,7%) avaient un niveau d’instruction secondaire, les tuteurs 56 cas (82,2%) étaient représenté habituellement par les parents et dans 37 cas (54,4%) ils étaient témoins de l’accident. Les enfants étaient de 2ème rang dans 23 cas (33,8%). L’ingestion était accidentelle dans 60 cas (88,2%) et volontaire dans 8 cas (11,8%); ceci s’était passé dans 53 cas (78%) au domicile familial et le jour 84,6%(55cas). L’eau de Javel était le caustique le plus incriminé 37 cas (54,4%), suivi de la soude caustique 20 cas (29,4%), l’acide sulfurique 7 cas (10,3%) et 3 cas (4,4%) de tisane. Le récipient qui a servi de stockage des caustiques était représenté par les bouteilles d’eau minérale dans 37 cas (54,4%). La quantité estimative ingérée était supposé minime dans 42 cas (61,7%). Les facteurs favorisants l’ingestion étaient le mode de stockage du caustique 53 cas (81,5%) et l’inattention ou négligence tuteur 7 cas (10,8%).Conclusion : Les ingestions de caustique chez l’enfant sont fréquentes à Brazzaville, elles sont l’apanage du jeune enfant de sexe masculin vivant en zone urbaine.fr_FR
dc.format.extent9fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.subjectCongo Brazzavillefr_FR
dc.subjectproduit caustiquefr_FR
dc.subjectenfantfr_FR
dc.subjectIngestionfr_FR
dc.titleAspects epidemiologiques des ingestions de produit caustique chez l'enfant au CHU de Brazzavillefr_FR
dc.typeArticlefr_FR
dcterms.bibliographicCitationAnnale des Sciences de la Santéfr_FR
Collection(s) :Articles publiés dans des revues à comité scientifique

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Ikobo et al. - 2018 - ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES DES INGESTIONS DE PRODUIT.pdf723.34 kBAdobe PDFVoir/Ouvrir


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