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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/3845
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dc.contributor.advisorCamara, Abdoulaye-
dc.contributor.advisorGaultier, Caroline-
dc.contributor.advisorNégri, Vincent-
dc.contributor.authorKouraogo, Patrice-
dc.date.accessioned2021-06-18T20:10:58Z-
dc.date.available2021-06-18T20:10:58Z-
dc.date.issued2007-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/3845-
dc.description.abstractA travers ce mémoire, nous avons mené une réflexion sur les contes du BURKINA FASO afin de contribuer à éclairer un pan de l’histoire de notre société et de revaloriser une pratique culturelle et traditionnelle intrinsèquement orale. En entamant cette recherche, nous nous sommes fixé un objectif global qui est : produire et diffuser les contes au large public, recadrer et donner un nouveau souffle aux contes pour faire d’eux des instruments transversaux qui doteront de nos populations de modèles de comportement responsables c‘est- à -dire ceux qui assurent l’épanouissement des générations actuelles et celui des générations futures. Avec une Méthodologie qui a couplé les recherches documentaires, les enquêtes sur les terrains et l’observation participative, nous avons traité cette problématique : Confrontée au défi moderne du développement durable qui s’impose comme une nouvelle vision, comment la société moaga burkinabé pourrait-elle exploiter ses anciens canaux d’éducation que sont les contes pour réussir son saut dans un vrai épanouissement total ? Comme toute recherche et en face de cette problématique, nous avons émis une hypothèse centrale de travail : par des stratégies bien définies et mieux déployées en matière de contes, ces derniers pourront être bien revalorisés et exploités afin de contribuer efficacement à la réalisation du développement durable du Burkina Faso. Après un état de lieu des contes dans notre pays et avec l’expérience du stage à L’ADAO à Brest (France), nous sommes arrivé à la conclusion que : Les exigences du développement appellent à une reconsidération de nos anciens instruments éducatifs comme les contes. Leur revalorisation est une obligation historique et même au delà, une opportunité de rendre notre volonté de progrès une réalité tangible. Pour se faire, nous avons fait la proposition d’un projet de centre de l’oralité qui résume la nouvelle vision que nous comptons imprimer aux contes. Des propositions concrètes de l’exploitation des contes moosé pour répondre aux exigences du développement durable ont été formulées et leur application engage tous les acteurs et partenaires que nous avons clairement définis. Tout compte fait, il ressort de cette étude que le peuple moaga est fortement plongé dans un processus de modernisation qui répond à la logique de la dynamique sociale. Ses canaux traditionnels (comme les contes) de l’éducation semblent être remis en cause par cette dynamique mais des voies de revalorisation et d’exploitation judicieuses existent et demandent une volonté collective de leur application.fr_FR
dc.format.extent77fr_FR
dc.publisherUniversité Senghorfr_FR
dc.subjectcontesfr_FR
dc.subjectculture traditionnellefr_FR
dc.titleLa contribution du patrimoine culturel immatériel dans le développement du Burkina Faso : apport des contes moosefr_FR
dc.typeThesis
Collection(s) :Mémoires soutenus

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