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https://hdl.handle.net/20.500.12177/3869
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.advisor | Fau, Jean-François | - |
dc.contributor.advisor | Gouda, Hanan | - |
dc.contributor.advisor | Coulibaly, Sandra | - |
dc.contributor.author | Fomekong Djeugou, Narcisse | - |
dc.date.accessioned | 2021-06-24T01:29:56Z | - |
dc.date.available | 2021-06-24T01:29:56Z | - |
dc.date.issued | 2019-04-07 | - |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/20.500.12177/3869 | - |
dc.description.abstract | La culture est de nos jours un des secteurs majeurs d’un ensemble de dynamiques en perpétuel changement qui constituent le monde. Afin que le patrimoine de l’humanité ne disparaisse pas, l’Unesco s’est fixé comme objectif la protection du patrimoine culturel mondial matériel et immatériel en voie de disparition. C’est dans cette perspective que, pour protéger et transmettre le Mvet, nous avons opté pour le présent sujet intitulé : De la sauvegarde à la promotion du patrimoine culturel bantou : le Mvet dans l’espace culturel Beti-Bulu-Fang » . Le Mvet, art théâtral complet appartenant aux peuples Beti-Bulu-Fang répartis dans quatre pays à savoir, le Cameroun, le Gabon, le Congo-Brazzaville et la Guinée Equatoriale est en voie de disparition. La problématique de sa sauvegarde se pose par conséquent avec acuité. Dès lors, les stratégies de sa sauvegarde et de sa promotion en tant qu’art a constitué le fil d’Ariane de notre raisonnement. L’hypothèse principale vérifiée dans ce travail est qu’il n’existe pas de politique adéquate pour sauvegarder et promouvoir la richesse culturelle que représente le Mvet. Cette hypothèse, partie d’une approche systémique et d’une enquête basée sur les questionnaires, a été validée dans trois chapitres. Le premier chapitre retrace les origines du Mvet de l’Égypte antique à la révélation divine, c’est-à-dire à Oyono Ada Ngone, tout en passant par les trois âges du Mvet selon Nna Otse, l’Ekang Nna, Oyono Ada Ngone et les trois types de Mvet (Mvet Ekang, Mvet Bibon et Mvet Engubi). De ce même chapitre, il ressort que le Mvet est un patrimoine mixte. Quant au deuxième chapitre, il met en exergue les opportunités socioéconomiques qui pourront découler d’une promotion organisée du Mvet. En effet, le Mvet interpelle plusieurs domaines : la musique, l’édition, l’artisanat et le tourisme ; activités pouvant se développer sans impact majeur sur l’environnement. En ce qui concerne le troisième chapitre, il présente une solution aux deux risques majeurs que rencontre le Mvet, à savoir : sa disparition, à cause de son caractère oral, et sa timide transmission intergénérationnelle. Ainsi, le Mvet Center (institution que nous proposons comme solution) permettra d’éditer les récits dûment enregistrés, transcrits et traduits afin de les mettre à la disposition du grand public. Ce faisant, il permettra de contribuer par son atelier à l’initiation des jeunes à la pratique du Mvet et de mettre en place un site web destiné à la vulgarisation de cette pratique artistique. | fr_FR |
dc.format.extent | 85 | fr_FR |
dc.publisher | Université Senghor | fr_FR |
dc.subject | préservation du patrimoine culturel | fr_FR |
dc.subject | art théâtral | fr_FR |
dc.subject | promotion des activités culturels | fr_FR |
dc.title | De la sauvegarde à la promotion du patrimoine culturel bantou : le Mvet dans l’espace culturel Beti-Bulu-Fang | fr_FR |
dc.type | Thesis | |
Collection(s) : | Mémoires soutenus |
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