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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/3870
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dc.contributor.advisorFau, Jean-François-
dc.contributor.advisorMourad, Hicham-
dc.contributor.advisorSaba, Michel-
dc.contributor.authorGaglozoun, Donatien Akuètè-
dc.date.accessioned2021-06-24T01:32:56Z-
dc.date.available2021-06-24T01:32:56Z-
dc.date.issued2019-04-04-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/3870-
dc.description.abstractNotre étude consiste en une tentative d’analyse des réflexions sur l’entrepreneuriat culturel au sein de l’espace UEMOA. Elle a pour but de conforter la réflexion sur le projet de création du Cabinet d’Expertise Culturelle Kond’Art qui est un cabinet d’études d’impact des programmes et projets mis en œuvre par les entreprises culturelles. Il a pour ambition de développer des stratégies de financement avec l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine qui a mis en place un Programme de Développement Culturel (2013-2020) et qui prend en compte les entreprises culturelles dans leur structuration. Ainsi, notre ambition est de mener une réflexion sur le modèle de type de financement aux entreprises culturelles afin que celles-ci (entreprises culturelles) soient pourvoyeuses de richesses et d’emplois et bénéficient de crédibilité auprès des partenaires techniques et financiers. A partir des recherches documentaires, des travaux de terrain et des entretiens, notre étude montre que la mise en place de ce cabinet est un outil d’appui et d’appropriation des valeurs éthiques par les responsables d’entreprises culturelles. Il contribuera à une meilleure structuration de ces dernières dans le respect de la chaine de valeurs. Mais, ce cabinet ne pourra être viable que s’il concentre ces activités dans un cadre professionnel. L’étude démontre aussi que l’environnement (espace UEMOA) bénéficie d’une vitalité culturelle qu’il faut promouvoir et ceci passe par la prise en compte des richesses culturelles dans les programmes et politiques de développement. Ce travail de suivi reste l’objectif du Cabinet d’Expertise Culturelle Kond’Art. Notre étude a démontré aussi que les difficultés rencontrées par les entreprises culturelles pourraient être résolues si on met l’accent sur la formation. Cette formation peut se décliner en plusieurs volets à savoir : -Comment écrire des projets culturels et artistiques ?- comment tenir la comptabilité d’une structure et d’une association ?- comment définir un plan de communication pour un projet ?- et enfin pour quels buts et quelles utilités recherche-t-on le financement ? Ces diverses formations vont participer réellement à la structuration des entreprises culturelles. La connaissance du marché et la maitrise de la chaine de valeurs restent une difficulté majeure pour les entreprises culturelles. Alors, notre projet qui s’inscrit dans la viabilité et la fiabilité des initiatives entrepreneuriales propose donc des pistes de solution pour les entreprises culturelles afin que celles-ci contribuent au pouvoir économique de leur pays.fr_FR
dc.format.extent74fr_FR
dc.publisherUniversité Senghorfr_FR
dc.subjectentreprises culturellesfr_FR
dc.subjectprojets culturelsfr_FR
dc.subjectfinancement de la culturefr_FR
dc.subjectAfrique de l'Ouestfr_FR
dc.subjectUEMOAfr_FR
dc.titleMécanismes de financement des entreprises culturelles de l’espace UEMOA : le défi régional de la fiabilité et de la viabilité des initiatives entrepreneurialesfr_FR
dc.typeThesis
Collection(s) :Mémoires soutenus

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