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https://hdl.handle.net/20.500.12177/3896
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.advisor | Miège, Bernard | - |
dc.contributor.advisor | Fau, Jean François | - |
dc.contributor.advisor | Almeida, Francisco d' | - |
dc.contributor.author | Sow, Kowôma Vincent | - |
dc.date.accessioned | 2021-06-28T14:36:57Z | - |
dc.date.available | 2021-06-28T14:36:57Z | - |
dc.date.issued | 2017-04-11 | - |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/20.500.12177/3896 | - |
dc.description.abstract | La crise du disque, accentuée par la révolution numérique, a entrainé une redéfinition des objectifs de la pratique du spectacle vivant dans le domaine de la musique. Cela fait de nos jours, de l’entrepreneur de spectacles l’un des acteurs essentiels, voire indispensables pour l’avenir de l’industrie musicale. Au Burkina Faso, l’entrepreneur de spectacles de façon générale et celui du domaine de la musique en particulier, a ses réalités. Cette étude a pour but de contribuer à rehausser le niveau de l’apport de l’entrepreneur de spectacles au développement de l’industrie de la musique au Burkina Faso. Ainsi, elle met en lumière bien de réalités de l’entrepreneur de spectacles burkinabè. On note que l’entrepreneuriat de spectacles est régi par des textes ce qui a été à l’origine de la classification des entrepreneurs en deux catégories que sont les occasionnels et les permanents. L’une des différences fondamentales entre les professionnels constitués de structures publiques, d’associations et d’entreprises commerciales est qu’elles n’ont pas les mêmes finalités. Néanmoins, la diffusion de la musique de l’artiste burkinabè, la mise de plus en plus du numérique au service de cette musique, sont les points communs aux deux catégories d’entrepreneurs. En outre, à travers quelques données, l’analyse montre que le spectacle vivant constitue de nos jours, une source de revenu considérable pour l’artiste et pour d’autres catégories d’acteurs dans le pays. Cela encourage l’artiste à créer au grand bonheur des mélomanes ; ce qui permet à d’autres entreprises du domaine de la musique de se maintenir. Cependant, il est à noter qu’à l’ère du numérique, l’entrepreneur de spectacles burkinabè est confronté à des difficultés de plusieurs natures qui ont pour nom, l’inefficacité de certains des textes, le non-respect de la règlementation, le faible usage du numérique dû à sa cherté ou à sa non maitrise, la faiblesse du financement de ses activités, l’insuffisance ainsi que le manque d’infrastructures et de matériel technique adaptés, le manque de professionnalisme de certains artistes, le faible niveau de formation des opérateurs, la gestion dans l’informel, les difficultés d’accès aux médias surtout ceux audiovisuels pour la promotion des activités, le peu de soutien des hommes de médias et le bas niveau de fréquentation des lieux de spectacle par le public burkinabè. Ce sont autant de difficultés qui limitent la contribution des entreprises de spectacles au développement de l’industrie musicale au Burkina Faso. Sur la base de ce diagnostic, une stratégie de développement de la profession au service de l’industrie de la musique, est proposée avec à la clé la formulation d’un projet de création d’une couveuse d’entreprises culturelles. L’horizon n’est pas sombre pour les entreprises de spectacles au Burkina Faso car l’étude s’achève sur une note d’espoir. | fr_FR |
dc.description.abstract | The record crisis which has been intensified by the digital revolution, has led to a redefinition of the purposes of the practice of performing Arts in music’s sector. This situation makes the entertainment contractor as one of the key actors even indispensable for the future of music industry nowadays. In Burkina Faso, show business contractor in general and that of music domain particularly, has his realities. The aim of this study is to contribute to heighten the level of the contribution of the entertainment contractor to music industry in Burkina Faso. Thus, it strips bare many realities of the show business contractor of Burkina Faso. We notice that some rules govern entertainment entrepreneurship that has been originally of contractors’ classification in two categories which are the casual one and the permanent one. One of the fundamental differences between the professional one, which are made up of public institutions, associations and companies, is that they have not the same purposes. Nevertheless the promotion of music of artists of Burkina Faso, the fact of using more and more digital in aid of this music are what the two categories of contractors have in common. Moreover, through some data the analysis highlights that performing Arts constitutes nowadays a considerable source of income for artist and for the other categories of actors in the country. That encourages artist to create to the delight of music lovers what permits other companies of music domain to remain. However, we must point out that at the digital era, entertainment contractor in Burkina Faso is faced with problems of several natures which are the inefficiency of some rules, non-compliance with regulations, the low use of digital due to the high cost or to the non-mastery of it, the weakness of the financing of his activities, the insufficiency as well as the lack of adapted infrastructures and technical equipment, the lack of professionalism of some artists, the low level of training of the operators, the management of the companies in the informal way, the problems to have access to media, especially TV and radio for the promotion of the activities, the little support of media people, the low level of attendance at entertainment places in Burkina Faso. They are so many problems which limit the contribution of entertainment companies to music industry development in Burkina Faso. On the basis of this diagnosis, a strategy for developing the profession has been suggested with the working out of a plan of creation of an incubator concerning cultural sector at the end of the study. The horizon is not gloomy for entertainment companies in Burkina Faso because the study ends with a note of hope. | en_US |
dc.format.extent | 71 p. | fr_FR |
dc.publisher | Université Senghor | fr_FR |
dc.subject | musique | fr_FR |
dc.subject | industrie des spectacles | fr_FR |
dc.subject | multimédia | fr_FR |
dc.subject | Burkina Faso | fr_FR |
dc.title | L’entrepreneur de spectacles vivants et le développement de l’industrie musicale au Burkina Faso à l’ère du numérique | fr_FR |
dc.type | Thesis | |
Collection(s) : | Mémoires soutenus |
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