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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/3919
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dc.contributor.advisorBoucher, Bernard-
dc.contributor.advisorFau, Jean François-
dc.contributor.advisorArnoult, Jean Marie-
dc.contributor.advisorCoulibaly, Sandra-
dc.contributor.authorSoura, Yaya-
dc.date.accessioned2021-07-04T12:49:41Z-
dc.date.available2021-07-04T12:49:41Z-
dc.date.issued2015-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/3919-
dc.description.abstractLa présente étude consiste en une analyse de la problématique du financement public des entreprises culturelles au Burkina Faso. Elle a pour but, de conforter les réflexions sur le projet de création d’une Agence nationale de développement des industries culturelles et créatives (ADICC) courant 2015-2016. Cette agence qui se veut un mécanisme de financement public aura pour objectif de soutenir financièrement les entreprises culturelles afin de développer leurs capacités de création, de production et de distribution des biens et services culturels. L’ambition est d’accroître l’impact du secteur de la culture sur le développement économique et social au Burkina Faso. A partir d’une recherche documentaire et de travaux de terrains, l’étude montre que la mise en place d’un outil de financement public au Burkina Faso pour le secteur culturel est indispensable pour le développement d’industries culturelles naissantes. Mais, ce dispositif de financement ne pourrait être viable que s’il se réalise dans un cadre professionnel. L’étude démontre alors que l’environnement culturel burkinabè, bien qu’assez dynamique est aussi confronté à de nombreuses difficultés et est faiblement structuré. Sa faible structuration est liée à la faible capacité professionnelle des acteurs culturels. Ainsi, pour optimiser son soutien financier aux entreprises culturelles, l’ADICC doit améliorer progressivement l’environnement professionnel des acteurs, à travers une bonne approche de communication. Malheureusement, le volet de la communication a été très faiblement pris en compte, car, les travaux et concertations sur ce projet de financement se sont penchés sur sa faisabilité et la stratégie de sa mise en oeuvre (management, outils de gestion et suivi-évaluation). Si, d’emblée, plusieurs facteurs influenceront sa réussite, la communication apparaît fondamentale dans le succès de ce projet de développement destiné à un secteur « spécifique ». En donnant de la visibilité à l’ADICC, cela pourrait favoriser une collaboration plus systématique des parties prenantes (acteurs culturels, Etat, partenaires techniques et financiers). Ensuite, cela peut faciliter une meilleure compréhension des objectifs et des enjeux socio-économiques du projet de ces bénéficiaires. Enfin, une bonne approche de communication peut également aboutir à un réel renforcement de leurs capacités professionnelles en matière de gestion d’entreprises culturelles et produire les résultats attendus. L’étude propose alors un plan de communication pour l’ADICC.fr_FR
dc.description.abstractThis study focuses on the issue of public financing of cultural enterprises in Burkina Faso. Its aim is to strengthen the plans to create a national agency for the development of cultural and creative industries (NADCCI) over the period 2015-2016. This agency is intended to support cultural enterprises and develop their capacity to create, produce, and distribute cultural goods and services. The goal is to increase the impact of the cultural sector on economic and social development in Burkina Faso. Based on literature review and fieldwork, this study shows that, in Burkina Faso, the establishment of a public financing tool for the cultural sector is essential for the development of emerging cultural industries. However, this funding arrangement will be feasible only if it is executed in a professional setting. The study shows that although Burkina Faso’s cultural environment is dynamic, it faces many challenges and is poorly structured. Its weak structure is related to the low professional capacity of the actors in the cultural sector. Thus, to optimize its financial support for cultural enterprises, NADCCI should progressively improve the working environment of actors through an approach based on good communication. Unfortunately, the communication component has not been taken into account, because the work and consultations on the planned funding arrangement have focused on its feasibility and the strategy for its implementation (management and monitoring and evaluation tools). Although several factors will influence the success of this development project for a "specific" sector, communication appears to be fundamental to its success. By giving visibility to the NADCCI, the project could encourage a more systematic collaboration by stakeholders (cultural actors, the government, and technical and financial partners). This communication approach, could also facilitate a better comprehension of the objectives and the socio-economic concerns of the beneficiaries of the project. Finally, a good communication approach can build the professional capacities of cultural actors in term of the management of cultural enterprises and produce the expected results. This study therefore proposes a communication plan for the NADCCI.en_US
dc.format.extent68 p.fr_FR
dc.publisherUniversité Senghorfr_FR
dc.subjectindustrie culturellefr_FR
dc.subjectentreprises culturellesfr_FR
dc.subjectfinancementfr_FR
dc.subjectBurkina Fasofr_FR
dc.titleLe financement public des entreprises culturelles au Burkina Faso : contribution pour la mise en place d’une Agence nationale de Développement des Industries Culturelles et Créatives, ADICCfr_FR
dc.typeThesis
Collection(s) :Mémoires soutenus

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