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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/5349
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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.advisorLahaye, François-Marie-
dc.contributor.advisorKouanda, Seni-
dc.contributor.advisorMésenge, Christian-
dc.contributor.authorZidwemba, Noufou-
dc.date.accessioned2021-10-05T14:44:15Z-
dc.date.available2021-10-05T14:44:15Z-
dc.date.issued2017-03-19-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/5349-
dc.description.abstractIncitations des agents de santé à base communautaire (ASBC) au dépistage de routine de la malnutrition aigüe au Burkina Faso : Cas des Districts sanitaires de Djibo et Dori Introduction : Au Burkina Faso, la pénurie en personnel qualifié est l’un des problèmes prioritaires expliquant les insuffisances en matière de dépistage de la malnutrition aiguë. Les agents de santé à base communautaire (ASBC) sont alors utilisés pour répondre aux pénuries de ressources humaines. Notre objectif était d’analyser les incitations des ABSC associées au dépistage de routine de la malnutrition aigüe au Burkina Faso. Matériel et méthodes : Il s’est agi d’une étude transversale à visée analytique conduite dans les districts sanitaire des Djibo et Dori. Elle a inclus 76 ASBC mettant en oeuvre le dépistage de routine de la malnutrition aiguë. Les données ont été recueillies à partir d’entretien avec les ASBC et d’exploitation des bases de données de dépistage de routine de la malnutrition aiguë. Résultats : L’âge moyen était de 46 ±15 ans. La majorité des ASBC (80,3%) était de sexe masculin, résidait en zone rurale (89%) et n’avait pas été scolarisé (55,3%). Par rapport à la collaboration entre ASBC et agents de santé, plus de la moitié des ASBC (55,3%) avait moins 15 jours d’interactions par mois avec les agents santé et près de 68,4% d’entre eux desservaient plus 2 villages. Aussi, la majorité des ASBC habitait à moins 5km du CSPS (67,1%) et moins de 5km des villages desservis (81,6%). Il ressort que 6,6% et 19,2% des ASBC n’étaient pas formés respectivement sur la formation initiale et celle de recyclage du dépistage de la malnutrition aigüe. La plupart des ASBC (77,6%) avait reçu une supervision, mais plus de la moitié (55,9%) d’entre eux avait moins de 3 jours de supervision dans l’année. La majorité des ASBC ne disposait ni de directives écrites pour le dépistage (61,7%), ni de bicyclette (76,3%). Comme incitations financières, les ASBC avaient reçu un montant médian de 40 USD [19-92] en 2014 contre 41 USD [15-65] en 2015. La majorité des ASBC affirmait que tous les habitants avaient joué un rôle majeur dans leur sélection (88,2%) et que la pression des pairs (36,8%) était leur motivation à devenir ASBC. Conclusion : Notre étude a démontré que la collaboration entre ASBC et agents de santé, la supervision des ASBC et les incitations financières étaient intimement associées au dépistage de routine de la malnutrition aigüe, d’où l’intérêt de les renforcer.fr_FR
dc.description.abstractIncentives of community-based health workers (CHWs) in acute malnutrition screening in Burkina Faso: Case of Djibo and Dori Health Districts Background: In Burkina Faso, the shortage of qualified staff is one of the main problems that explains the delay in acute malnutrition screening. Community-based health workers (CHWs) have been use to respond to human resource shortages. Our objective was to analyze the CHWs incentives in acute malnutrition screening results in Burkina Faso. Methodology: An analytical cross-sectional study was conducted in Djibo and Dori health districts. A total of 76 CHWs involved in routine acute malnutrition screening were interviewed. Data was also collected from acute malnutrition screening databases. Findings: The mean age of the study participants was 46 ± 15 years. The majority of CHWs (80.3%) were male, resident in rural areas (89%), and had never gone to school (55.3%). Concerning the collaboration between CHWs and health workers, 68.4% of CHWs were assigned more than two villages by health workers; and more than half of CHWs (55.3%) had fewer than 15 days of interactions per month with the former. Only 6.6% and 19.2% of CHWs did not have an initial training and refresher training on routine acute malnutrition screening respectively. Most of CHWs (77.6%) had received supervision, among which more than half (55.9%) had less than 3 days supervision in the year. The majority of CHWs did not have written guidelines (67.1%) and a bike (76.3%). As for financial incentive, CHWs received a median amount of US $ 40 [US $ 19-92] in 2014 against US $ 41 [US $ 15- $ 65] in 2015. The majority of the CHWs confirmed that their local community had played a major role in their selection (88.2%); and that, the peer pressure (36.8%) had motivated them. Conclusion: Our study showed that collaboration between CHWs and health workers, CHWs supervision and financial incentives are intimately associated with the acute malnutrition screening. For this reason, they should be fortified.en_US
dc.format.extent57 p.fr_FR
dc.publisherUniversité Senghorfr_FR
dc.subjectmalnutritionfr_FR
dc.subjectrecherche nutritionnellefr_FR
dc.subjectBurkina Fasofr_FR
dc.titleIncitations communautaires au dépistage de la malnutrition aigüe dans la région du Sahel du Burkina Fasofr_FR
dc.typeThesis
Collection(s) :Mémoires soutenus

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