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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/5833
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dc.contributor.advisorMésenge, Christian-
dc.contributor.advisorRapp, Christophe-
dc.contributor.advisorChokry Karass, Maged-
dc.contributor.authorIname, Harouna-
dc.date.accessioned2021-11-09T15:09:46Z-
dc.date.available2021-11-09T15:09:46Z-
dc.date.issued2011-03-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/5833-
dc.description.abstractLa prévention de la transmission materno-fœtale du VIH est une priorité sanitaire mondiale. Au sein de la stratégie PTME, le conseil dépistage réalisé lors des CPN est un outil efficace avec un taux d’adhésion en hausse chez les FE selon l'ONUSIDA (17% en 2007 et 21% en 2008 dans les pays à revenue faible et intermédiaire). Paradoxalement, le taux de dépistage des partenaires reste très faible (environ 5%).Le dépistage du couple surtout dans les pays où l'épidémie du VIH est généralisée est indispensable pour éliminer la transmission du VIH de la mère à l'enfant. Plus d'une décennie après la mise en œuvre de la PTME au Burkina Faso, nous constatons une faible adhésion des partenaires des FE à cette stratégie d'où l'intérêt de cette étude réalisée dans le district sanitaire de Solenzo pour comprendre cette situation. Objectif: identifier les facteurs associés à la faible adhésion des conjoints des femmes enceintes à la stratégie PTME. Méthodologie: Nous avons réalisé une enquête transversale à visée descriptive, dans trois formations sanitaires dans le district sanitaire de Solenzo au Burkina Faso.la population d'étude était les partenaires des femmes enceintes qui ont adhérées au conseil dépistage dans le cadre de la PTME, obtenus par échantillonnage aléatoire. Résultats: Cent vingt partenaires dont l'âge moyen était de 34,8 ans ont été inclus. 78,3% avaient au plus le niveau du primaire, 67,5% étaient des agriculteurs,68,3% de monogramme et 83,3% vivaient dans un rayon de 5 km d'un centre de santé. Notre population n'avait pas de bonnes connaissances sur le VIH:2,5% ne connaissaient ni une voie de transmission ni un moyen de prévention et 11,9% pensaient que la voie sexuelle était l'unique voie de transmission et seulement 5% connaissaient les trois principales voies de transmission. 57,5% des FE ont partagé le résultat de leur sérologie avec leur partenaire, seulement 10% de notre population d'étude était sensibilisée sur la PTME avec un taux d'adhésion de 5%.Le fait d'avoir été sensibilisé sur la PTME était le seul déterminant statistiquement associé à l'acceptation du test. Par ailleurs la dotation en consommables PTME et l'organisation des services des formations sanitaires ne prenaient pas en compte les conjoints des FE. Après la sensibilisation de la population d'étude sur les avantages de la PTME 92,5% se sont déclarés prêts à faire le dépistage. Conclusion: Ce travail suggère que les principaux obstacles à l’adhésion des partenaires des FE à la stratégie PTME sont: un défaut de sensibilisation de ces derniers, une insuffisance de dotation en consommables et une mauvaise organisation au niveau des centres de santé lors de la CPN.fr_FR
dc.format.extent49fr_FR
dc.publisherUniversité Senghorfr_FR
dc.subjectFemmes enceintesfr_FR
dc.subjectSidafr_FR
dc.subjectBurkina Fasofr_FR
dc.titleDéterminants de la faible adhésion des partenaires des femmes enceintes à la stratégie de la prévention de la transmission mère-enfant du VIH en zone rurale en Afrique de l'ouest: cas du district sanitaire de Solenzo au Burkina Fasofr_FR
dc.typeThesis
Collection(s) :Mémoires soutenus

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