DICAMES logo

Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/5835
Affichage complet
Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.advisorMésenge, Christian-
dc.contributor.advisorMaire, Bernard-
dc.contributor.advisorGad, Mohamed-
dc.contributor.authorPalenfo, Gnourfatéon Dramane-
dc.date.accessioned2021-11-09T15:12:49Z-
dc.date.available2021-11-09T15:12:49Z-
dc.date.issued2011-04-19-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/5835-
dc.description.abstractIntroduction: les politiques publiques alimentaires et nutritionnelles existant en France ciblent leurs actions vers des groupes particuliers (enfants, femmes enceintes, personnes âgées). Face aux changements qui interviennent dans les pratiques alimentaires et les habitudes de consommation, d’autres groupes à risque voient le jour. C’est le cas des étudiants chez qui on parle souvent de précarité ou de pauvreté. Qu’ils soient étrangers ou pas, les étudiants semblent avoir de plus en plus du mal à assurer leur alimentation. Pour évaluer la qualité globale de cette alimentation, nous avons mené une étude chez des étudiants dans la ville de Montpellier. Méthodologie : à travers une enquête de consommation, nous avons effectué une évaluation alimentaire sur 3 jours chez des étudiants fréquentant le restaurant universitaire. Nous avons aussi recueilli des renseignements sur leurs caractéristiques socioéconomiques et leurs habitudes alimentaires. La qualité de l’alimentation a été évaluée au moyen du Diet Quality Index (DQI-I) et des modèles de régression ont été appliqués afin de déterminer les relations éventuelles avec les caractéristiques socioéconomiques et la fréquentation du restaurant universitaire. Résultats : la qualité globale de l’alimentation des étudiants présente un DQI-I total de 57,8/100. Cette alimentation a un bon score pour la variété (15/20) et est passable pour l’adéquation (27,7/40). Cependant elle est loin de respecter les critères d’équilibre (0,2/10). On compte que 3 étudiantssur 5 ont une alimentation de mauvaise qualité (DQI-I<60). La fréquentation du restaurant universitaire n’est pas statistiquement liée à cette qualité. Nous n’avons pas non plus,mis en évidence de relation entrel’origine des étudiantset cette qualité. Cependant nous avons trouvé une association entre certaines catégories du DQI-I (adéquation et modération) et le niveau d’étude des étudiants.Conclusion: Cette étude malgré quelques limites méthodologiques, montre que la situation d’alimentation des étudiants est préoccupante et montre aussi que la part du restaurant universitaire dans leur consommation reste très faible.fr_FR
dc.format.extent69fr_FR
dc.publisherUniversité Senghorfr_FR
dc.subjectAlimentationfr_FR
dc.subjectRestaurant universitairefr_FR
dc.subjectFrancefr_FR
dc.titleMesure de la qualité globale de l’alimentation des étudiants fréquentant les restaurants universitaires de la ville de Montpellierfr_FR
dc.typeThesis
Collection(s) :Mémoires soutenus

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
GnourfateonPalenfo.pdf2.12 MBAdobe PDFMiniature
Voir/Ouvrir


Tous les documents du DICAMES sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.