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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/5906
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dc.contributor.advisorMésenge, Christian-
dc.contributor.advisorDorkenoo, Nyuiemabou Améyo-
dc.contributor.advisorChokry Karass, Maged-
dc.contributor.authorSant'Anna, Mawoulé-
dc.date.accessioned2021-11-15T15:38:53Z-
dc.date.available2021-11-15T15:38:53Z-
dc.date.issued2011-04-11-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/5906-
dc.description.abstractMéthodologie: objectif: Cette étude a pour objectif de déterminer la proportion de femmes enceintes ayant réalisée les 05 analyses recommandées par l’OMS (sérologie du VIH et de la syphilis, groupage rhésus, dosage de l’hémoglobine et la recherche de l’albumine sucre dans les urines)dans le cadre du suivi biologique des grossesses et les caractéristiques socio-économiques qui influencent cette fréquence. Méthode: il s’agit d’une étude qualitative, transversale menée à partir d’un questionnaire administré individuellement à 100femmes admises en suites de couches dans la période de mai à juillet 2010dans une structure sanitaire publique de Lomé .Le recueil des données s’est fait par un entretien et la consultation du dossier médical de la femme. Les données sont été traitées par le logiciel Epi Info 3.5.1 puis exportées vers Excel pour la réalisation des graphiques.09 enquêtée sont été exclues à cause des informations non concordantes. Résultats: Les enquêtées de notre étude ont un âge compris entre 16 et 45ans avec une moyenne de 29 ans.70,9% (70/91) des femmes ont fait au moins 04 CPN;3,3% (03/91) n’en ont fait aucune. 26,37%[18-37](24/91) ont fait la recherche de l’albumine-sucre dans les urines, 75,82% [66-84] (69/91) le groupage-rhésus,68,13%[57,5-77,5] (62/91) la sérologie du VIH, 52,7% [42,0-63.3] (48/91) la sérologie syphilitique et60,4% [49.6-70.5] (55/91) le dosage de l’hémoglobine.16,48% (15/91) ont réalisé les 05 analyses alors que 14,28% (13/91) n’en ont fait aucune. Une comparaison des caractéristiques de femmes ayant fait toutes les analyses et celles qui n’ont fait aucune analyse révèle que : les femmes dont l’âge18<âge et >34,les plus pauvres et celles dont la CPN a été réalisée dans les structures privées, ont eu plus tendance à ne faire aucune analyse (non significatif). Le pourcentage de réalisation des analyses croit avec le niveau élevé du groupe social excepté pour la réalisation de la recherche de l’albumine/sucre. 80% des femmes à conditions sociales favorisées ont fait le dépistage du VIH contre 38,5% chez les plus défavorisées. Conclusion: Dans notre étude, une très faible proportion de femmes a réalisé toutes les 05 analyses recommandées par l’OMS et aucune des analyses n’est suffisamment prise en compte dans le suivi des grossesses. Le facteur majeur explicatif est le statut économique des femmes. L’amélioration du respect du nombre et de la fréquence de ces analyses favoriser a une bonne issue des grossesses et le contrôle du VIH/SIDA, de l’anémie et de la syphilis dans la population. Cette accessibilité peut être améliorée par des mécanismes réglementaires, économiques et de communicationsfr_FR
dc.format.extent39 p.fr_FR
dc.publisherUniversité Senghorfr_FR
dc.subjectsanté publiquefr_FR
dc.subjectgrossessefr_FR
dc.subjectfemmes enceintesfr_FR
dc.subjecthopitauxfr_FR
dc.subjectTogofr_FR
dc.titleAccessibilité des femmes à la surveillance biologique des grossesses à l’hôpital de Bè à Lomé, Togo)fr_FR
dc.typeThesis
Collection(s) :Mémoires soutenus

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