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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/6746
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dc.contributor.advisorDelaure, Jacques-
dc.contributor.authorTraoré, Modibo-
dc.date.accessioned2021-12-28T16:44:06Z-
dc.date.available2021-12-28T16:44:06Z-
dc.date.issued2005-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/6746-
dc.description.abstractLa plupart des pathologies aiguës, subaiguës ou chroniques ont des conséquences métaboliques, responsables d’un retentissement nutritionnel. La dénutrition est responsable de perte significative de poids, d’une incidence plus élevée de complications (infectieuses), de constitution d’escarres, d’une durée d’hospitalisation plus longue, d’une augmentation du coût des traitements et des examens complémentaires. Elle est également responsable d’une surmortalité à un an. Les hôpitaux sont presque partout des lieux où sévit la malnutrition. En effet, l’hospitalisation place le patient dans des conditions peu favorables à une satisfaction de ses besoins nutritionnels. Sa prise en charge précoce est nécessaire pour éviter ces conséquences. C’est dans ce contexte, que le CHU de Brest a initié un projet au niveau du service de médecine interne 4 et nutrition pour améliorer le statut nutritionnel des personnes dénutris et à risque de dénutrition, en utilisant des outils de dépistage et de prise en charge nutritionnelle. Au Mali, cette situation ne doit pas être perçu comme une fatalité ou la conséquence d’un environnement économique précaire, mais comme le résultat de manque de stratégies même si actuellement il n’est pas possible de parler de transférabilité. Nous proposons des pistes suivantes : • l’évaluation de l’état nutritionnel des patients lors de l’examen clinique dès l’admission par le personnel soignant ; • la prescription de régime alimentaire; • l’utilisation de guide de dépistage et de prise en charge par niveau de la structure de soins, • la formation initiale et continue du personnel soignant et de cuisine ; Aussi, il est nécessaire de renforcer les missions de la DNPA, ainsi que la sous traitance des cuisines hospitalières. Pour qu’il y ait amélioration, il faut le support des industries agroalimentaires et ou les laboratoires pharmaceutiques. Les patients et leurs familles doivent être impliqués dans l’alimentation et les soins nutritionnels. Il faut surtout, une bonne éducation nutritionnelle à tous les niveaux de soins. Cette démarche est possible dans le cadre des réformes hospitalières entreprises. Ces réformes sont essentielles à la mise en place d’une nouvelle organisation interne qu’exige l’hôpital « entreprise ».fr_FR
dc.format.extent87fr_FR
dc.publisherUniversité Senghorfr_FR
dc.subjectMalnutritionfr_FR
dc.subjectAdultesfr_FR
dc.subjectHospitalisationfr_FR
dc.subjectMalifr_FR
dc.titleDépistage et prise en charge des maladies adultes hospitalisés dénutris en France : quelles pistes pour le Malifr_FR
dc.typeThesis
Collection(s) :Mémoires soutenus

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