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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/7980
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dc.contributor.advisorEl Ati, Jalila-
dc.contributor.advisorThonneau, Patrick-
dc.contributor.advisorTraissac, Pierre-
dc.contributor.authorTongon, Komivi-
dc.date.accessioned2022-04-07T09:38:18Z-
dc.date.available2022-04-07T09:38:18Z-
dc.date.issued2021-09-20-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/7980-
dc.description.abstractContexte et objectif : En raison de la rapidité relative des changements alimentaires, de l'urbanisation et de la croissance démographique dans les pays en développement, la prévalence des maladies non transmissibles (MNT) augmente. L’ensemble de ces changements, appelé transition nutritionnelle, se produit à des degrés divers selon les pays ou les régions. Certaines études ont été menées en Afrique subsaharienne pour conclure de l'étape de transition nutritionnelle de certains pays, mais l'étape précise au Togo reste mal élucidée. Cette étude vise à évaluer les étapes de la transition nutritionnelle au Togo entre 1988 et 2018. Méthodologie : Comme Subedi et al., nous avons considéré les variables proxy de développement du cadre de Popkin, pour identifier le stade de transition nutritionnelle atteint par le pays en tenant compte des changements économiques, alimentaires, démographiques et épidémiologiques. Notre étude a utilisé une méthodologie quantitative comprenant une analyse de données secondaires, basée sur des bilans alimentaires, des enquêtes économiques et des bases de données sur la santé du gouvernement et des organisations internationales. Résultats : Le Togo est un pays qui a libéralisé son marché pour le commerce des denrées alimentaires, et le régime alimentaire est principalement basé sur les féculents avec une augmentation de la consommation de graisses et de sucre. L'économie du pays s'éloigne du secteur agricole vers les secteurs des prestations de service et il y a une augmentation du revenu national, mais l'expansion du secteur industriel est encore lente. L'urbanisation augmente avec le début des migrations internationales, et il y a une augmentation de l'espérance de vie (<60 ans) et une diminution de la population de moins de 15 ans. La proportion de jeunes est élevée, la mortalité et la fécondité diminuent mais la première diminue plus rapidement que la seconde. La prévalence de la dénutrition est élevée, mais celle du surpoids/obésité est également en augmentation. Il y a aussi une augmentation de la charge de morbidité des maladies non transmissibles et une diminution de celle des maladies transmissibles. Conclusion : Il ressort que le Togo se situe désormais entre la troisième et la quatrième étape de la transition nutritionnelle selon le cadre de Popkin. Une étude plus approfondie est recommandée pour déterminer si les familles urbaines contre rurales, riches contre pauvres et instruites ou non éduquées sont au même stade dans le pays.fr_FR
dc.format.extent67fr_FR
dc.publisherUniversité Senghorfr_FR
dc.subjectTransition nutritionnellefr_FR
dc.subjectTransition économiquefr_FR
dc.subjectTransition démographiquefr_FR
dc.subjectEpidémiologiefr_FR
dc.subjectMaladies transmissiblesfr_FR
dc.subjectMaladies non transmissiblesfr_FR
dc.subjectTogofr_FR
dc.titleStades de la transition nutritionnelle du Togo entre 1988 et 2018fr_FR
dc.typeThesis
Collection(s) :Mémoires soutenus

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