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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/10165
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dc.contributor.advisorSocpa, Antoine-
dc.contributor.authorAyumbi Abongwa, Paul-
dc.date.accessioned2023-04-05T13:11:37Z-
dc.date.available2023-04-05T13:11:37Z-
dc.date.issued2022-06-09-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/10165-
dc.description.abstractLe VIH est traité comme une maladie chronique, mais les taux élevés de perte de suivi et la faible adhésion aux médicaments entraînent une augmentation de la mortalité, de la morbidité et de la mutation virale. Les conflits et les déplacements sont associés à un risque accru de transmission du VIH parmi les populations touchées. Le maintien des programmes ARV dans les zones de guerre peut être difficile. La faiblesse des institutions, l'insuffisance des financements et les mouvements imprévisibles des populations dans les régions marquées par les conflits constituent des défis majeurs pour la réussite des traitements ARV. Nous avions pour objectif principal d'examiner les défis auxquels sont confrontés les patients séropositifs dans l'observance de leur traitement en situation de crise. Nous avons utilisé une méthode semi-quantitative (à la fois qualitative et qualitative) pour évaluer ces défis. La population étudiée était composée de PVVIH, de travailleurs de la santé, de guérisseurs traditionnels et d'hommes de foi qui ont consenti à participer. Les entretiens, l'observation, l'histoire de vie, la recherche documentaire et le questionnaire ont été utilisés pour collecter les données. Les données qualitatives ont été analysées par Atlasti, tandis que les données quantitatives ont été analysées à l'aide du logiciel SPSS. Notre étude a révélé de nombreux obstacles aux programmes de TAR dans la zone de crise, notamment. L'adhésion au traitement conventionnel s'est avérée faible en raison du déplacement forcé et de la mobilité de la population. Les obstacles à l'adhésion perçus par les participants, comprenaient: la sécurité, l'expulsion, la distance, l'insécurité alimentaire, l'absence d'installations et de personnel de santé, le coût du transport et l'absence de déplacement et de stigmatisation. Le choix des sources de soins dépendait largement de la disponibilité et des croyances générales en matière de santé et plus particulièrement de la façon dont le conflit a affecté leur traitement. Des méthodes conventionnelles et non conventionnelles ont été utilisées pour soulager les symptômes ou traiter les PVVIH dans la région. La non-observance du traitement antirétroviral a un impact sur l'utilisation et les coûts des soins de santé, la mortalité, les comportements sexuels à risque et la résistance virale au traitement. Les efforts visant à garantir des soins ininterrompus dans ces populations en crise restent un défi majeur. Les efforts visant à retenir les patients à l'aide de conseillers et d'agents de santé mobiles sont des stratégies efficaces pour assurer la continuité des soins.fr_FR
dc.format.extent123fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé 1fr_FR
dc.subjectNon-adhésionfr_FR
dc.subjectARVfr_FR
dc.subjectConflitfr_FR
dc.subjectVIH/SIDAfr_FR
dc.subjectBamendafr_FR
dc.titleTherapeutic adherence of hiv/aids patients in crisis situation in Bamenda : a contribution to medical anthropologyfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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