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https://hdl.handle.net/20.500.12177/10213
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.advisor | Kana’a, Thomas | - |
dc.contributor.author | Etoundi Essidang, Davy Gaétan | - |
dc.date.accessioned | 2023-04-07T10:49:10Z | - |
dc.date.available | 2023-04-07T10:49:10Z | - |
dc.date.issued | 2021 | - |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/20.500.12177/10213 | - |
dc.description.abstract | The control and the knowledge of the condition of surfaces is a major need for manufacturers. In mechanics as in all other sectors, surface quality is always demanded by customers, leading metrologists to place particular emphasis on the control of roughness during and after machining. The purpose of this thesis was to make direct and indirect surface measurements of roughness parameters on milled surfaces. The state of the art on the methodology of the duplication of surfaces made it possible to choose a steel C10 verified in spectrometry and whose starting dimensions were the diameter of 55mm and the length 46mm. The preparation of the specimens consisted in the realization of the gorges in order to separate the surfaces to be milled, measured and duplicated. A two-size cutter (2T) made of tungsten carbide (wc) was used for machining the surfaces according to a protocol varying the advance per tooth and the frequency of rotation of the cutter. Direct surface measurement of roughness used an SRT 6210 roosimeter. The indirect measurement consisted of duplicating the machined surfaces using the plastiform P80 Ra and F30 Visual. The results based around the numerical comparison of roughness values, revealed that the indirect measurements made on the duplicate surfaces vary from 20٪ to 30٪ compared to the value of the roughness parameters of the actual surface. | en_US |
dc.description.abstract | Le travail exposé dans ce mémoire porte sur la construction du concept de courant électrique en électricité en physique par les élèves des 4e Années industrielles des lycées et collèges d’enseignement techniques au Cameroun. La revue de littérature indique que depuis plus de deux décennies, plusieurs chercheurs en didactique des sciences ont montré que beaucoup d’élèves dont l’âge varie entre huit (08) et vingt-deux (22) ans éprouvent beaucoup de difficultés à comprendre les concepts de l’électricité, notamment la détermination de l’intensité du courant électrique dans des circuits séries et parallèles simples (Tiberghien, 2004). En effet la DI, investie comme mode de transposition didactique dans cette recherche et mise à l’épreuve des performances des élèves dans la construction de leurs propres savoirs sur la notion de courant électrique, nous a conduit à émettre l’hypothèse générale suivante : « Lorsque l’enseignement du concept du courant électrique se déroule sous le prisme de la DI comme mode de transposition didactique en situation classe, celle-ci devient un levier important dans le processus enseignement -apprentissage qui aide les élèves de 4e Année industrielle du LTIE à performer significativement dans la construction de ce concept ». En nous servant des étapes de la démarche d’investigation, nous avons émis trois hypothèses secondaires. Notre recherche étant quasi expérimentale, elle s’est déroulée avec les élèves des classes de 4e Année industrielle du LTICE. En effet, suite à la technique d’échantillonnage par cota, Nous avons obtenu un échantillon de quarante élèves répartis en deux (2) groupes équivalents : vingt (20) dans le groupe témoin et vingt (20) dans le groupe expérimental. Dans un premier temps, nous avons administré un pré test aux deux groupes dans le but de récolter leurs conceptions. Nous avons obtenu un pourcentage de bonne réponse de 25,3% dans le groupe expérimentale et 27% dans le groupe témoin. Dans un deuxième temps, le groupe expérimental a subi un test alors que le groupe témoin a subi un enseignement habituel pendant la même durée. Par la suite, nous avons admis un post test pour voir si les conceptions des apprenants ont évolué. La récolte et l’analyse des données du post test dans les deux groupes montrent que le pourcentage de bonnes réponses dans le groupe témoin est de 90%. Par contre dans le groupe expérimental, ce pourcentage est de 55%. De plus, toutes nos hypothèses secondaires ont été validées au seuil de signification α=0,05 du test de t-soudent de comparaison de deux échantillons indépendants, ce qui nous a conduit à valider l’hypothèse générale de notre recherche. | fr_FR |
dc.format.extent | 79 | fr_FR |
dc.publisher | Université de Yaoundé I | fr_FR |
dc.subject | Rugosité de surface | fr_FR |
dc.subject | Duplication | fr_FR |
dc.subject | Fraisage | fr_FR |
dc.title | Évaluation des paramètres de rugosité des surfaces répliquées’’ | fr_FR |
dc.type | Thesis | - |
Collection(s) : | Mémoires soutenus |
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