Accès des populations à l’eau potable dans la ville d’Ati au Tchad

Abstract

This thesis entitled ’’Access of populations to drinking water in the city of Ati in Chad’’ Ati 12 ities in Chad has limited acces to drinking water only 40% of the populations has access to tap water. The general objective of our study consists in improving the access to drinking water of the populations of the town of Ati in quality and in sufficient quantity. The major concern of our study is propose sustainable solutions in the short, medium and long term in order to solve the proble of access to drinking water the populations of the city of Ati. To do this, we have set the objective of increasing the rate of access to drinking water in the city of Ati to 70% by 2026. The state of place of access to drinking water in the city. According to our surveys, it appears that 40% of populations has access to drinking water: therset of the population gest its supplies from other sources, such as traditional and modern wells, hand pumps, streams and the Batha River. These different water sources are undeveloped and not controlled by the health services. This practice exposes the population to waterborne diseases.

Ce mémoire intitulé « Accès des populations à l’eau potable dans la ville d’Ati au Tchad ». Ati 12e villes du Tchad connait un accès limité à l’eau potable seulement 40% de la population a accès à l’eau du robinet. L’objectif général de notre étude consiste à améliorer l’accès à l’eau potable des populations de la ville d’Ati en qualité et en quantité suffisante. Le souci majeur de notre étude est de proposer des solutions durables à court, moyen et long terme afin de résoudre le problème d’accès à l’eau potable des populations de la ville d’Ati. Pour ce faire, nous avons fixé comme objectif de porter à 70% le taux d’accès à l’eau potable de la ville d’Ati à l’horizon 2026. L’état de lieu d’accès à l’eau potable de la ville. D’après nos enquêtes, il ressort que 40% de la population a accès à l’eau potable. Le reste de la population s’approvisionne aux autres sources à l’exemple de puits traditionnels et modernes, les pompes à motricité humaine, les cours d’eau et le fleuve Batha. Ces différentes sources d’eau sont non aménagées et non contrôlées par les services sanitaires. Cette pratique expose la population aux maladies d’origine hydrique.