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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/10925
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dc.contributor.advisorNjoya Mama, Mohamed-
dc.contributor.authorMamadou Goundy, Stéphan Michael-
dc.date.accessioned2023-07-19T14:38:55Z-
dc.date.available2023-07-19T14:38:55Z-
dc.date.issued2022-09-08-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/10925-
dc.description.abstractDepuis plus d’une décennie, la République centrafricaine s’est engagée sur la voie de la promotion de la prise en compte de la variable genre. En dépit de sa situation de guerre civile permanente et de sécurité fragile, quelques avancées ont été obtenues dans la prise en compte de la variable genre dans la vie politique, économique et socioculturelle du pays. Cependant, plusieurs défis restent à relever. Sur le cadre formel, l’égalité est établie par la Constitution de 2016 qui reconnaît l’égalité des droits et devoirs à tous les citoyens. La loi n°16.004 instituant la parité entre les hommes et les femmes en RCA a été promulguée le 24 novembre 2016. Le cadre juridique est généralement favorable mais, certaines pratiques socioculturelles viennent entraver cet élan entrepris par le gouvernement de la République. Pour tenter d’expliquer ce phénomène, il nous revient donc de nous attarder sur le rapport qui existe entre la prise en compte de la variable genre et le développement socio-économique à Lobaye/Ngotto. Une telle entreprise passera par plusieurs théories : la théorie du patriarcat développée par Sylvia Theresa Walby, sociologue britannique qui est un système social dans lequel les hommes détiennent le pouvoir principal et prédominent dans les rôles de leadership politique, d'autorité morale, de privilège social et de contrôle de la propriété. La théorie du point de vue, quant à elle, développée par Friedrich Hegel qui nous met la lumière sur la dynamique relationnelle entre dominant (hommes) et dominé (femmes). Et la théorie fonctionnaliste énoncée par Bronislaw Malinowski et Radcliffe-Brown nous donne la possibilité d’analyser les fonctions que remplissent le gouvernement centrafricain, les organismes nationaux et internationaux à travers leur politique et programme de la prise en compte de la variable genre dans cette commune de Lobaye/Ngotto. Pour collecter les données, nous avons utilisé plusieurs techniques : l’observation directe, la revue documentaire et les entretiens directifs et semi-directifs avec les responsables des organismes, ONG, le Ministère de la Promotion du Genre, les autorités locales/élus locaux, les femmes, les hommes, jeunes, leaders religieux et communautaires. Il ressort de cette analyse que des efforts ont été faits pour réduire les pesanteurs socioculturelles à l’application de la prise en compte de la variable genre, loi sur la parité et les dispositions sur le code de la famille. Tous les partenaires en présence en Centrafrique ont dans leurs agendas pris en compte la variable genre mais ceux-ci se réalisent sur le terrain de manière nonchalante car ils ont été influencés par les valeurs culturelles car influencer sur le terrain par les valeurs culturelles.fr_FR
dc.format.extent143fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé 1fr_FR
dc.subjectVariable genrefr_FR
dc.subjectDéveloppement socioéconomiquefr_FR
dc.subjectRépublique centrafricainefr_FR
dc.titlePrise en compte de la variable genre dans le processus de développement socio-économique en République Centrafricaine : cas de la commune de Lobaye/Ngottofr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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