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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/10995
Titre: L’appui de la coopération suisse au développement de l’hydraulique rural au Cameroun : cas de la Fondation Saint Martin de Baar dans la Mefou et Akono 1989-2022.
Auteur(s): Kanga, Marie Madeleine Bruna Octavia
Directeur(s): Wanyaka Bonguen Oyongmen, Virginie
Mots-clés: Coopération au développement
Coopération décentralisée
Eau potable
Maladies hydriques
Adduction d’eau
Date de publication: 1-mar-2023
Editeur: Université de Yaoundé 1
Résumé: Comme tous les pays en voie de développement, le Cameroun éprouve encore, malgré les efforts fournis par le gouvernement, de sérieux problèmes en matière d’approvisionnement des populations en eau potable. Les zones rurales semblent souvent mises aux oubliettes. Le réseau d’adduction national ne dessert que très peu de zones rurales, ce qui laisse généralement les populations dans l’obligation de consommer une eau de qualité douteuse, les exposant ainsi à diverses maladies hydriques. C’est pour apporter une solution durable à ce problème que le Père Urs Friedrich Egli initia le projet eau potable (PEP) devenu ''eau c’est la vie'' en 1992. Ce projet fut entrepris par l’organisme suisse appelé Fondation Saint Martin de Baar (FSMB). L’œuvre de cet organisme s’inscrit dans la perspective de la coopération Cameroun-Suisse à travers l’aide au développement. Cette étude a pour but d’étudier un pan de la dimension humanitaire non gouvernementale de la coopération Cameroun-Suisse à travers des structures non étatiques. Pour parvenir à sa réalisation, nous avons convoqué plusieurs catégories de sources comme nous l’exige la méthodologie en Histoire suivant une approche inductive et hypothético-déductive. Il ressort globalement de cette étude que la Fondation Saint Martin de Baar FSMB à travers le projet eau potable (PEP) constitue une expérience originale et pertinente en matière d’approvisionnement des zones rurales en eau potable, qui mérite d’être capitalisée. Tout compte fait, la FSMB ne saurait à elle-seule combler les besoins des populations rurales en matière d’approvisionnement en eau potable, et encore moins se substituer au gouvernement camerounais à qui incombe, au premier chef, cette mission. Néanmoins, les réalisations de cette institution sont palpables sur le terrain.
Pagination / Nombre de pages: 222
URI/URL: https://hdl.handle.net/20.500.12177/10995
Collection(s) :Mémoires soutenus

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