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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11175
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dc.contributor.advisorGwoda, Adder Abel-
dc.contributor.authorEwoko, Nalionge Maxmillianus-
dc.date.accessioned2023-07-27T09:15:50Z-
dc.date.available2023-07-27T09:15:50Z-
dc.date.issued2023-03-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/11175-
dc.description.abstractLa préoccupation majeure de cette aventure épistémique est d’examine le concept de violence en politique et d’établir les possible piliers pour une culture de la non-violence. Pour y parvenir, la présente thèse se concentre sur l’évaluation arendtienne du mensonge, la violence et le pouvoir dans « Crisis of the Republic ». Dans une méthode historico-analytique, l’examen arendtien de la violence et du pouvoir peut être appréhendé à deux niveaux : théorique et pratique. Théoriquement, il pose les jalons d’une réflexion philosophique sur des concepts tels que le mensonge et la violence, et explique de manière tacite comment en usant du mensonge un gouvernement peut conduire les citoyens à chercher une réponse à travers des mouvements tels que la désobéissance civile et peut les pousser à adopter des comportements de violence. De façon pratique, l’ouvrage va en droit ligne avec les difficultés contemporaines telles que les mouvements de violence et de désobéissance civile qui continuent d’occuper le sommet de l’actualité mondial. Pour soutenir son point de vue, Arendt emprunte à la réalité quotidienne des faits avérés et les examine sous l’angle de la philosophie. Cet examen pose le problème de la pertinence logique ou de la cohérence de l’analyse arendtienne de la violence et du pouvoir. La solution d’Arendt semble être utopique ou politiquement idéaliste face au réalisme politique. En fait, le réalisme politique stipule que le pouvoir est un phénomène politique indépendant et ne doit pas être contrecarré par les valeurs morales traditionnelles. Ceci est non seulement illustré par la façon dont le pouvoir est exercé dans l’État moderne, mais aussi amplifié par l’existentialisme politique de Sartre et de Fanon. Malgré les limites explicites et implicites de la thèse d’Arendt, elle conserve encore une portée philosophique incomparable. Premièrement, Arendt, dans son pacifisme, appelle à passer d’une démocratie totalitaire à une démocratie fédérale fondée sur un dialogue inclusif. Deuxièmement, sa conception donne le ton pour l’établissement des piliers clés de la culture de la non-violence, et sa thèse peut contextuellement être interprétée comme une panacée à la scène politique africaine qui est aujourd’hui marquée par le chaos et la violence. En effet, elle ne donne pas seulement des raisons aux dirigeants africains d’inculquer l’humanisme et des valeurs telles que le consensus dans l’exercice du pouvoir, mais invite également les citoyens d’être patriotes et non violents dans l’expression de leurs droits civils et humains tout en luttant pour une société plus stable.fr_FR
dc.format.extent151fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé 1fr_FR
dc.subjectViolencefr_FR
dc.subjectPouvoir politiquefr_FR
dc.subjectNon-violencefr_FR
dc.subjectDésobéissance civilefr_FR
dc.subjectConsensusfr_FR
dc.subjectGouvernancefr_FR
dc.titleThe aetiology of violence in politics: analysing violence and power in Hannah Arendt’s crisis of the republic (1972)fr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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