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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11277
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dc.contributor.advisorMbele, Charles Romain-
dc.contributor.advisorHeinsen, Samuel-
dc.contributor.authorKalla Kotchop, Vincent Rocard-
dc.date.accessioned2023-08-10T13:56:00Z-
dc.date.available2023-08-10T13:56:00Z-
dc.date.issued2023-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/11277-
dc.description.abstractNotre travail de recherche part du constat selon lequel les enseignants de philosophie n’innovent pas en termes de pratiques didactiques, malgré les multiples innovations pédagogiques et surtout le contexte actuel de l’approche par compétences (APC). Ce qui* s’observe à travers les comportements des apprenants qui ne font pas toujours preuve d’esprit critique à la suite des leçons de philosophie. D’où le problème de l’impropriété des pratiques didactiques en vigueur dans l’enseignement-apprentissage de la philosophie dans le secondaire. Ce qui est néfaste à l’appropriation des compétences escomptées et consacre une véritable obsolescence pédagogique. Fondées sur la mémorisation et l’érudition, ces pratiques encore en vigueur étouffent l’entendement de l’apprenant et l’empêche de philosopher véritablement, donc de pouvoir discerner par la nécessité de son propre pouvoir judicatif, le vrai du faux, le bien du mal. La question principale est donc la suivante : comment orienter les pratiques didactiques actuelles pour permettre aux apprenants de développer l’esprit philosophique ? L’objectif général poursuivi est de montrer comment les pratiques didactiques doivent être organisées de façon à développer l’esprit philosophique chez les apprenants. Notre hypothèse générale est que les pratiques didactiques actuelles de la philosophie déterminent les compétences escomptées des apprenants. Nous nous sommes alors servi d’une approche mixte (à la fois qualitative et qualitative) avec comme instruments le questionnaire et l’observation de classe, et avons eu accès à un échantillon de 690 personnes constituées d’élèves, d’enseignants et d’inspecteurs pédagogiques répartis dans cinq régions du Cameroun. Comme technique d’analyse des données, nous avons fait usage de la tabulation et du calcul des fréquences. Les résultats obtenus confortent les hypothèses spécifiques et permettent de valider l’hypothèse générale. La discussion de ces résultats a dans l’ensemble été faite à la lumière des théories psychologiques (behaviorisme, cognitivisme, constructivisme et socioconstructivisme), pédagogiques (approche par objectifs, pédagogie différenciée, apprentissage par problème et approche par compétences). Ces résultats révèlent que les pratiques didactiques actuelles de la philosophie ne favorisent pas le développement des compétences du philosopher chez les apprenants. D’où la nécessité d’évoluer vers une didactique du philosopher dans le processus enseignement-apprentissage de la philosophie dans le secondaire au Cameroun, en y intégrant véritablement l’APC en particulier et les nouvelles pratiques philosophiques en général.fr_FR
dc.format.extent396fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectDidactiquefr_FR
dc.subjectPratiques didactiquesfr_FR
dc.subjectPhilosophiefr_FR
dc.subjectPratiques philosophiquesfr_FR
dc.subjectCompétences philosophiquefr_FR
dc.subjectPhilosopherfr_FR
dc.titleVers une didactique du philosopher dans l’enseignement-apprentissage de la philosophie dans le secondaire au Camerounfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Thèses soutenues

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