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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11291
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dc.contributor.advisorMenye Nga, Germain Fabrice-
dc.contributor.authorChekoutouo Kahake De Doume Epse Nzentem, Larissa-
dc.date.accessioned2023-08-11T08:07:28Z-
dc.date.available2023-08-11T08:07:28Z-
dc.date.issued2022-09-17-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/11291-
dc.description.abstractLa présente étude vise à cerner les attitudes des travailleurs dans les métiers à risque au Cameroun. Précisément, nous voulons comprendre comment l’évaluation que l’individu fait de la situation, de ses ressources et son entourage interagissent avec ses émotions pour aboutir à des conduites à risque. Le problème posé ici est celui de l’exposition volontaire et consciente au danger. L’hypothèse suivante a été formulée : L’évaluation transactionnelle du danger mobilise des ressources émotionnelles chez les agents de terrain, déterminant ainsi la prise de risque en situation de travail. Elle a été opérationnalisée en trois hypothèses : HR1 : La sous-évaluation du danger associée à la maîtrise des émotions négatives sont à l’origine de la prise de risque en situation de travail chez les agents de terrain du secteur électrique au Cameroun ; HR2 : Le contrôle perçu de la situation associé à la maîtrise des émotions négatives favorise la prise de risque en situation de travail chez les agents de terrain du secteur électrique au Cameroun ; HR3 : Le soutien social perçu associé à la maîtrise des émotions négatives conduit les agents de terrain du secteur électrique au Cameroun à prendre des risques en situation de travail. Elles ont été vérifiées à partir d’un questionnaire et d’un guide d’entretien analysés par régression linéaire multiple et analyse du contenu. Avec un R-deux de l’ordre de (0,049) obtenu pour HR1, la sous-évaluation du danger associée à la maîtrise des émotions négatives explique à 4.9% les conduites à risques ; avec un Flu < Fcalculé (2,342 < 8,783), HR1 est confirmée. S’agissant de l’HR2, un R-deux de l’ordre de (0,056) montre que le contrôle perçu associé à la maîtrise des émotions négatives explique à 5.6% les conduites à risque ; avec un Flu < Fcalculé (2,342 < 10,102), HR2 est confirmée. Pour HR3, un R-deux de l’ordre de (0,150) montre que le soutien social perçu associé à la maîtrise des émotions négatives explique à 15% les conduites à risque ; avec un Flu < Fcalculé (2,342 < 30,094), HR3 est confirmée. Concernant l’analyse du contenu, HR1 ayant pour a été confirmée sur trois (03) des quatre (04) indicateurs et infirmée sur un indicateur ; HR1 a été confirmée ; HR2 a été confirmée sur quatre (04) des cinq (05) et infirmée sur un (01) indicateur ; HR2 a été confirmée ; HR3 a été confirmée sur trois (03) des quatre (04) indicateurs et infirmée sur un (01) indicateur ; HR3 a été confirmée. Les trois hypothèses de recherche ayant été confirmées, notre hypothèse générale a été confirmée. Ce résultat explique que face à un danger, l’individu maîtrise ses émotions négatives (peur anxiété), ce qui lui permet de réévaluer positivement la situation, ses compétences, ses interactions avec son entourage, l’amenant ainsi à négliger les comportements de protection.fr_FR
dc.format.extent358fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectEvaluation transactionnellefr_FR
dc.subjectRessources émotionnellesfr_FR
dc.subjectPrise de risquefr_FR
dc.subjectAgents de terrain,fr_FR
dc.subjectSecteur électriquefr_FR
dc.titleÉvaluation transactionnelle du danger, ressources émotionnelles et prise de risque en situation de travail : cas des agents de terrain du secteur électrique au Camerounfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Thèses soutenues

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