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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11304
Titre: Méthodes actives en histoire et développement des compétences disciplinaires et transversales chez les apprenants de sixième : Enjeux et problèmes.
Auteur(s): Lewassa, Emeline Alfred Augrey
Directeur(s): Amana, Evelyne
Diye, Jérémie
Mots-clés: Méthodes actives
Histoire
Compétences disciplinaires et compétences transversales
Date de publication: 10-mar-2023
Editeur: Université de Yaoundé I
Résumé: Le travail de recherche que nous proposons, porte sur « méthodes actives en histoire et développement des compétences disciplinaires et transversales chez les apprenants de 6e : enjeux et problèmes ». L’objet de ce mémoire est d’identifier et de comprendre les obstacles qui entravent au développement des compétences disciplinaires et transversales en classe d’Histoire et de présenter les enjeux liés à la mise en œuvre des méthodes actives dans la construction de ces compétences. Pour aboutir à la réalisation de ce travail de mémoire, notre choix a porté sur la recherche mixte alliant enquête qualitative et quantitative dans le but de collecter un maximum d’informations pouvant expliquer le phénomène étudié. La présente étude naît du constat selon lequel, bien que l’APC soit institué dans le système éducatif camerounais, les enseignements transmissifs perdurent. Bien que les Programmes officiels d’Histoire de 6e de l’Enseignement Secondaire Général encouragent le recours aux méthodes actives, l’on constate que les enseignants perdurent dans les approches transmissives. Autrement dit, les méthodes actives sont faiblement inscrites dans les mœurs des enseignants. De manière générale, les méthodes actives relèvent de ce qu’on appelle « l'apprentissage expérientiel » ou constat de performance qui signifie « apprendre en faisant ». Dans le processus de leur application, la tâche de l’enseignant consiste à impliquer les apprenants dans des situations tirées de la réalité et calquées sur elle au maximum, pour susciter des compétences. Dès lors, l'hypothèse principale que nous formulons est la suivante : la mise en application des méthodes actives favorisent l’implication des apprenants dans le processus d’enseignement-apprentissage et de ce fait leur permet de développer des compétences disciplinaires et transversales. Pour répondre à la problématique, nous avons fait recours à l’observation non participante, des questionnaires été distribué aux apprenants de sixième et des interviews ont conduites auprès des enseignants. Les participants ont été répartis de façon aléatoire en trois types d’établissements (à savoir public, laïc et confessionnel). A partir de cette classification, les réponses récoltées montrent à quel point l’application effective des méthodes actives tardent à intégrer les pratiques didactiques des enseignants. Ces résultats laissent voir la distance qui existe entre méthodes d’enseignement actives et construction des compétences des apprenants. En somme, il ne suffit pas de proposer des méthodes actives d’enseignement, mais il faut également les accompagner de moyens conséquents.
Pagination / Nombre de pages: 133
URI/URL: https://hdl.handle.net/20.500.12177/11304
Collection(s) :Mémoires soutenus

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