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https://hdl.handle.net/20.500.12177/11316
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.advisor | Nguemeta, Philippe | - |
dc.contributor.author | Amenguele Nyimi, Hervé Benoit | - |
dc.date.accessioned | 2023-08-17T08:57:48Z | - |
dc.date.available | 2023-08-17T08:57:48Z | - |
dc.date.issued | 2023-07 | - |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/20.500.12177/11316 | - |
dc.description.abstract | La science, aujourd’hui, est menacée par une montée fulgurante d’un irrationalisme tenace orchestré particulièrement par certaines figures emblématiques de l’épistémologie post-critique. Ceux-ci ont voulu mettre au même piédestal que la science, d’autres instances supra-empiriques telles que la magie, la religion, les instincts, les superstitions, la métaphysique, les émotions et même la sorcellerie. Une telle conception des choses semble ainsi perdre de vue le caractère et la spécificité de la science qui est conçue comme un ensemble de connaissances chargées de donner une explication rationnelle aux phénomènes afin de permettre à l’homme de bien connaître la nature. Celle-ci obéit de ce fait à un ensemble de critères qui la définissent particulièrement : un objet d’étude, une méthode, un cadre conceptuel, une finalité et le principe d’objectivité. Ainsi, l’étude qui suit se propose de prendre philosophiquement en charge la question de l’irrationalisme en science, par la médiation de l’un des philosophes importants du XXème siècle, Karl Popper (1902-1994), dont la pensée s’articule autour d’une critique acerbe. La difficulté fondamentale qui s’y dégage est celle du statut épistémologique de l’irrationnel dans la pensée de l’auteur de La misère de l’historicisme. Ainsi, cette analyse de la critique poppérienne de l’irrationalisme qui fait l’objet de notre étude, nous permet de comprendre que d’après Popper, l’irrationalisme est épistémologiquement problématique. Car elle est source d’illusions, de non-sens et de déstabilisation du tissu social. C’est dire donc que la science, d’après Popper, ne saurait être fondée sur un irrationalisme tenace, mais sur la mise en exergue d’une rationalité scientifique qui admet un esprit critique, de débat et d’ouverture. C’est la raison pour laquelle ce travail démontre que d’après Popper, fonder le savoir scientifique sur l’irrationalisme, c’est faire preuve de mauvaise foi et sombrer dans le chaos. | fr_FR |
dc.format.extent | 190 | fr_FR |
dc.publisher | Université de Yaoundé I | fr_FR |
dc.subject | Irrationalisme | fr_FR |
dc.subject | Rationalisme critique | fr_FR |
dc.subject | Rationalisme | fr_FR |
dc.subject | Science | fr_FR |
dc.subject | Non-science | fr_FR |
dc.subject | Falsificationnisme | fr_FR |
dc.subject | Fondationnalisme | fr_FR |
dc.subject | Société ouverte | fr_FR |
dc.subject | Société close. | fr_FR |
dc.title | Karl Raimund Popper et la critique de l’irrationalisme en science : une analyse philosophique de la société ouverte et ses ennemis (tome II) | fr_FR |
dc.type | Thesis | - |
Collection(s) : | Mémoires soutenus |
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