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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11367
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dc.contributor.advisorOjuku, Tiafack-
dc.contributor.advisorNdjounguep, Juscar-
dc.contributor.authorProssie, Manual Venceslas-
dc.date.accessioned2023-10-09T19:09:08Z-
dc.date.available2023-10-09T19:09:08Z-
dc.date.issued2022-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/11367-
dc.description.abstractPour répondre aux énoncés de Rio touchant la participation des communautés locales dans la gestion durable de la forêt, la démarche devrait concilier la nécessité d'assurer les conditions de la pérennité des ressources et l’impératif de l’amélioration des conditions de vie de celles-ci. L’objectif visé par ce mémoire est de construire un modèle de participation des communautés locales dans la conservation de la biodiversité de la forêt d’Ebo. Pour l’atteindre, une étude du cas des villages Ndokmem Nord, Ndotoun et Mosse dans l’arrondissement de Yingui a été mise en exergue. La méthodologie adoptée s’est appuyée sur une approche participative. Pour cela, la démarche s’est adossée sur les outils tels le SIG, les enquêtes de terrain et la cartographie participative. Les systèmes de positionnement global (GPS), les logiciels d’analyse des données satellites et spatiales ont joué un rôle capital pour faciliter suivi de l’aménagement du territoire. Les résultats montrent l’instabilité de la biodiversité liée aux activités anthropiques. Il ressort aussi l’effritement des particularités culturelles qui assuraient le mode de vie des communautés. De nombreux cas de conflits liés aux usages de la forêt ont été identifiés. Nos résultats montrent que les besoins de survie et les perceptions que les communautés locales ont de la forêt sont muables. Notre analyse met ainsi en exergue des attributs des communautés locales sur lesquels un modèle de participation se construit, à savoir la perception de la forêt comme bien de la communauté et gage de son unité ; le pouvoir traditionnel comme institution de proximité et la nécessité d’actualiser les savoirs locaux. Par ailleurs, les résultats des enquêtes ménages montrent que le revenu moyen annuel d’un ménage est de 700 000 FCFA et proviennent à 90 % des activités agricoles. Nos résultats montrent aussi que ces activités économiques sont très peu diversifiées. Sur le plan économétrique, l’analyse montre des transformations négatives sur l’environnement, ce qui agit négativement sur la production de Yingui. Ces résultats ont permis d’élaborer le modèle de participation des communautés locales à la gestion de la forêt d’Ebo dont les villages Ndokmem Nord, Ndotoun et Mosse sont le noyau de référence et pour lequel la gouvernance à mettre en place part de l’institution de proximité qu’est le pouvoir coutumier. Ce modèle de participation, pour être efficace, intègre l’impératif d’améliorer des conditions de vie des communautés locales à travers l’aménagement durable de finage villageois et la nécessité de la conservation de la forêt d’Ebo qui environ 10% du régime foncier coutumier de Mosse.fr_FR
dc.format.extent144fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectCartographie participativefr_FR
dc.subjectParticipationfr_FR
dc.subjectBiodiversitéfr_FR
dc.subjectForêt d’Ebofr_FR
dc.subjectCamerounfr_FR
dc.titleCartographie participative et plan de zonage pour la conservation de la biodiversité : cas de la foret d’Ebo arrondissement de Yingui (littoral – Cameroun)fr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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