Social affection determinants and quality of life to old age person affected with alzheimer

Abstract

Notre recherche porte sur "Les déterminants de l'affection sociale et la qualité de vie des personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer". Elle s'inscrit dans le champ de l'Education Spéciale, plus précisément dans le domaine du Handicap Mental, des Capacités Mentales et du Conseil et pose une problématique sur le déterminant de la qualité de vie de la personne âgée atteinte de la maladie d'Alzheimer. L'objectif général était d'améliorer la qualité de vie des personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer. Comme grille de lecture du problème posé, nous avons fait appel à l'approche théorique qui insiste sur la relation psychologique, physiologique et sociale avec l'environnement en lien affectif avec les besoins et le bien-être de la personne âgée afin de contribuer à l'amélioration de la qualité de vie de la personne âgée qui se traduit par les composantes de la qualité de vie que sont la satisfaction de la vie, le bonheur et le bien-être subjectif : Le déterminant de l'affection sociale influence-t-il la qualité de vie des personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer ? L'hypothèse a été formulée comme suit : Le déterminant de l'affection sociale influence la qualité de vie des personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer. Pour expérimenter cette hypothèse, nous avons eu recours à des étapes méthodologiques, nous avons dû faire appel à la méthode qualitative. Elle consiste à sélectionner un échantillon de six sujets atteints d'Alzheimer remplissant les critères d'inclusion fixés au départ. Ces personnes âgées atteintes d'Alzheimer ont été observées sur leurs interactions avec leur famille proche, le personnel médical et les visiteurs pendant trois mois à l'hôpital central (service de gériatrie). La collecte des données s'est faite à l'aide d'un guide d'entretien et d'une observation participative. L'analyse des données récoltées s'est faite par le biais d'une analyse de contenu et d'une échelle d'observation. Les résultats montrent que l'extrême vulnérabilité des patients Alzheimer que nous rencontrons, les nombreux risques qu'ils prennent, et les conséquences de leur exposition quotidienne à des facteurs qui rendent leur situation plus complexe à appréhender, donnent très souvent lieu à une tension entre le respect de leur mode de vie, la responsabilité professionnelle et les règles éthiques, la conscience éthique et morale des praticiens. Ce n'est pas toujours une position confortable, surtout lorsqu'il s'agit de s'adresser à un service de santé spécialisé et qu'il est difficile de s'adresser à un tiers qui n'est pas suffisamment sensibilisé ou formé à la prise en charge de cette population, et qui ne sait pas s'y prendre avec des personnes qui sont facilement stigmatisées ou mises au ban de la société. Nous pouvons constater, à partir des résultats de notre participant, que la dimension psycho-affective est tout ce qui concerne les émotions, les relations, avec soi-même et avec les autres, ce qui amène le patient à avoir confiance en lui, à développer des compétences et à s'engager. L'établissement d'une relation thérapeutique et d'un climat de confiance. C'est ce qui permet d'avancer et au patient d'accepter et de partager. On peut donc affirmer que dans la mesure où les individus éprouvent une satisfaction adéquate de leurs besoins et atteignent un certain niveau de performance dans l'accomplissement de leurs rôles, ils sont adaptés à leur environnement et jouissent d'une bonne qualité de vie.