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https://hdl.handle.net/20.500.12177/11649
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.advisor | Ayissi, Lucien | - |
dc.contributor.author | Menye, Sophie Josiane | - |
dc.date.accessioned | 2023-12-22T08:18:54Z | - |
dc.date.available | 2023-12-22T08:18:54Z | - |
dc.date.issued | 2023 | - |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/20.500.12177/11649 | - |
dc.description.abstract | L’idée de gouvernance dans le Contrat social de Jean-Jacques Rousseau renvoie à l’exercice légitime de la souveraineté, par laquelle, elle s’exprime à travers la volonté générale. Ce pouvoir doit être capable de garantir la liberté, la justice sociale et l’intérêt général. Pour mieux exprimer les rapports politiques relatifs à cette gestion du pouvoir, il a été mis sur pied, le concept de gouvernance. Il est à la fois un réaménagement des démocraties représentatives et un pouvoir normatif. Pour que ce concept devienne une philosophie de la gouvernance, il faudrait que l’État puisse devenir un espace éthique, capable d’améliorer qualitativement les conditions de l’humanité et l’exercice de la citoyenneté. C’est ce qui explique pourquoi, elle se met en marge de la querelle des ontologies et le conflit des anthropologies. Bien que Rousseau ait alimenté ces querelles ontologiques et anthropologiques, il s’inscrit dans la trame d’idées, selon laquelle, il faut gouverner avec la puissance publique dans l’optique de préserver l’intérêt général, et favoriser l’exercice de la citoyenneté. Au demeurant, la philosophie rousseauiste de la gouvernance est dotée d’une infrastructure conceptuelle diversifiée. La république est le lieu par excellence du déploiement de cette forme de pensée. Car, c’est le régime par lequel le bien public est respecté. En effet, même si la préférence politique des États est aujourd’hui pour la démocratie libérale, il n’en demeure pas moins que l’idée de gouvernance est belle et bien présente dans le contrat social de Jean-Jacques Rousseau. Toutefois, la philosophie rousseauiste de la gouvernance est confrontée à des défis politiques et économiques. Mais cela est dû à l’idéologie libérale qui a pour objectif d’uniformiser les États et le monde. À cet effet, la pensée rousseauiste de la gouvernance peut avoir des problèmes de concrétisation, au regard de sa caducité. Si pour Rousseau, la loi est une norme qui permet d’administrer avec justice la chose publique, l’argent est la nouvelle norme de référence qui a gagné le monde | fr_FR |
dc.format.extent | 150 p. | fr_FR |
dc.publisher | Université de Yaoundé I | fr_FR |
dc.subject | Volonté générale | fr_FR |
dc.subject | Souverain | fr_FR |
dc.subject | Loi | fr_FR |
dc.subject | Intérêt privé | fr_FR |
dc.subject | Intérêt général. | fr_FR |
dc.subject | Corps politique | fr_FR |
dc.subject | La chose publique | fr_FR |
dc.title | L’idée de la gouvernance chez Jean-Jacques Rousseau, une analyse du Contrat social | fr_FR |
dc.type | Thesis | - |
Collection(s) : | Mémoires soutenus |
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