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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11653
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dc.contributor.advisorNgapgue, Jean Noël-
dc.contributor.authorNyamsi Bamseck, Marie Françoise-
dc.date.accessioned2023-12-22T08:19:26Z-
dc.date.available2023-12-22T08:19:26Z-
dc.date.issued2023-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/11653-
dc.description.abstractLes hommes exercent une pression croissante sur les ressources naturelles. L’eau s’avère être la ressource la plus utilisée mais les hommes exploitent abusivement cette ressource sans savoir, surtout en ville où la densité des populations est très élevée. Dans les villes équatoriales, certains citadins éprouvent des difficultés à être approvisionné en eau malgré l’abondance de cette ressource. Il est des moments où l’eau manque dans certains quartiers et on ne sait pourquoi, surtout que les hommes ont multiplié les stratégies d’accès à l’eau. Le présent travail se fonde sur l’exemple de Bertoua pour analyser la gestion des ressources en eau afin d’établir les avantages et les inconvénients dans le contexte de la décentralisation. Pour atteindre nos objectifs, nous avons fait une collecte de donnée primaire auprès des ménages, autorités administratives et traditionnelles associée aux informations recueillies dans les travaux des chercheurs, les différents documents et rapport des personnes morales en charge de la gestion de l’eau dans la commune de Bertoua 1er. Les résultats montrent que la commune de Bertoua 1er bénéficie de sa situation en zone équatoriale d’une diversité des ressources en eau à savoir les ressources en eau souterraine, superficielle et atmosphérique. Mais l’exploitation anarchique des ressources en eau créé par le fait que la population utilise des puits aménagés (14,28%), puits non aménagés (55,10%), forages (12,92%), lacs (2,72%) et camwater (14,95%) ne permet pas à satisfaire les besoins de la population en eau potable en saison sèche qui dure en moyenne 2 à 3 mois ; ce qui crée le manque d’eau dans certains quartiers où la nappe phréatique est un peu plus profonde. Ces quartiers non desservis par la camwater, sont ceux où la commune et l’état ne sont pas fortement impliqués. Mais les déficits d’ordre naturel, le traitement non adéquat de l’eau, la non disponibilité de la ressource par endroit provoquent des nuisances et des effets négatifs sur la santé de la population d’où le cas de plusieurs maladies telles que le choléra, diarrhée, la dysenterie amibienne, la fièvre typhoïde sans oublier les maladies de la peau et infection vaginal (3,45%), fièvre typhoïde (28,16%), dysenterie amibienne et fièvre typhoïde (24,71%). D’où la nécessité de confier aux collectivités territoriales décentralisées la gestion des ressources en eau potable lorsqu’on sait que la loi n° 2004/018 du 22 Juillet 2004 de l’article 16 permet aux collectivités territoriales décentralisées de gérer les ressources en eau potable.fr_FR
dc.format.extent190 p.fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectCollectivité territorialefr_FR
dc.subjectDécentralisationfr_FR
dc.subjectGestionfr_FR
dc.subjectRessources en eaufr_FR
dc.subjectCommunefr_FR
dc.subjectBertoua 1er.fr_FR
dc.titleCollectivités territoriales décentralisées et gestion des ressources en eau potable dans la Commune de Bertoua 1erfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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