Coping de l’agressivite et indocilite du Trisomique 21 : Une étude de cas

Abstract

Notre recherche porte sur le « Coping de l’agressivité et indocilité chez le trisomique 21 : Une étude de cas ». Elle s’inscrit dans le champ de l’éducation spécialisée, plus précisément des handicaps mentaux, habiletés mentales et conseils. Elle pose le problème de l-indocilité et acquisition des compétences chez les sujets porteurs de trisomie 21 en milieu scolaire . L’objectif général était de comprendre l’impact des modalités du coping de l’agressivité sur la docilité des sujets porteurs de la trisomie 21 en situation de classe. Comme grille de lecture du problème posé, nous avons eu recours aux approches théoriques qui insistent sur l’importance de la théorie d’attachement afin de favoriser l’acquisition des habiletés socialement acceptables dans ses relations antagonistes ou harmonieuses. La question de recherche qui a servi de fil d’Ariane à notre à notre investigation a été formulé de la manière suivante : Le coping de l’agressivité a-t-il un impact sur les comportements d’indocilité des enfants porteurs de la trisomie 21 en age scolaire ? L’hypothèse principale de notre travail a été formulé ainsi : le coping de l agressivite a un impact sur les comportements indocilite des enfants porteur de la trisomie 21 en age scolaire. Pour prouver cette hypothèse, nous avons en guise de démarche méthodologique eu recours à la méthode qualitative. Elle a consisté à sélectionner un échantillon de 05 sujets trisomiques 21 indociles remplissant les critères d’inclusion fixés d’avance. Ces enfants trisomiques 21 ont été observés dans leurs interactions avec les pairs en institution, enseignants dans les centres ESEDA et CAF Espoir pendant trois mois ainsi que dans leurs familles respectives. La collecte de données s’est faite par un entretien semi directif et une observation participante. L’analyse des données s’est faite par la méthode d’analyse du contenu. Les résultats obtenus montrent que les stratégies de coping de l’agressivité influencent sur la gestion de l’indocilité chez le trisomique 21 en âge scolaire. Ce qui augure une perspective d’accompagnement et de prise en charge plus large dans le domaine du handicap mental.