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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11709
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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.advisorNoa Ndoua, Claude Cyrille-
dc.contributor.advisorMetogo Ntsama, Junie Annick-
dc.contributor.advisorTompeen, Isidore-
dc.contributor.authorFanta Wanie Epse Tchoing, Winnie Raïssa-
dc.date.accessioned2024-01-25T07:52:50Z-
dc.date.available2024-01-25T07:52:50Z-
dc.date.issued2023-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/11709-
dc.description.abstractIntroduction : Le syndrome des ovaires micropolykystiques (SOMPK) est la première endocrinopathie chez la femme jeune en âge de procréer et constitue la première cause d’infertilité par anovulation. Au Cameroun sa prévalence est estimée à 6.8% chez les patientes suivies pour infertilités. Les gonadotrophines et le drilling ovarien sont des modalités thérapeutiques de deuxiéme ligne qui amelioreraient la fertilité chez les patientes ayant un SOMPK. Cependant, la fertilité des patientes ayant le SOMPK qui ont bénéficié d’un drilling ovarien n’est pas connu dans notre contexte. L’objectif de notre étude était d’évaluer la fertilité chez les femmes atteintes de SOMPK et ayant bénéficié d’un traitement chirurgical dans 2 hôpitaux de la ville de Yaoundé. Méthodologie : nous avons mené une étude longitudinale descriptive mixte avec collecte des données retrospective et prospective. L’étude menée était sur une durée de 16 mois, avec un recrutement de 5 ans. Etaient incluses ; toutes patientes avec resistance au citrate de clomiphéne et ayant bénéficié d’un drilling ovarien pour SOMPK. Les paramètres étudiés étaient : les caractéristiques sociodémographiques, cliniques, les techniques chirurgicales utilisées dans notre contexte, le taux de conception, le taux de grossesses menées à terme et le taux de pertes foetales dans un intervalle de 0 et à 24 mois après traitement. L’analyse des données s’est faite à l’aide des logiciels SPSS version .21 et Excel 2016. Les variables quantitatives ont été exprimées en moyenne, le lien entre les variables qualitatives a été évalué à l’aide du test de Chi2 avec une valeur p˂0,05 considérée comme significative. Résultats : nous avons inclus 41 patientes dont l’âge variait entre 20 et 41 ans ; La moyenne d’âge était de 31,66± 3,8 ans ; La tranche d’âge la plus représentée était celle de 30 à 34ans (53,66%). On retrouvait une anomalie de l’IMC chez 26/32 patientes ; l’hirsutisme dans 70,37% soit 19/27 patientes. Il existait un trouble du cycle à type spanioménorrhée chez 82,9 % des patientes soit 34/41. Linfertilité était primaire et secondaire chez respectivement 35/41 et 6/41. (trait en bas enlever) . La coelioscopie était la principale voie d’abord (100%) et la monopolaire le matériel le plus utilisé (65,85%) ; chaque ovaire des patientes bénéficiait de 10-18 perforations. Le taux global de conception était de 36,6% parmis lesquels 93,3% etaient spontanées. Les patientes ayant un revenu élevé était majoritairement tombé enceinte avec un seuil de significativité (p=0,01). Le taux global de grossesses menées à terme était de 73,3%. Le taux global de pertes foetales était de 26,7%. Conclusion : La fertilité des patientes suivies pour SOMPK ayant une résistance au traitement médical de 1ere ligne est améliorée par le drilling ovarien. La conception est dans la majorité des cas spontanée. Plus de la moitié de grossesses sont menées à terme.fr_FR
dc.format.extent121fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectTraitement chirurgicalfr_FR
dc.subjectDrilling ovarienfr_FR
dc.subjectSOMPKfr_FR
dc.subjectFertilitéfr_FR
dc.subjectYaoundéfr_FR
dc.titleEvaluation de la fertilité après traitement chirurgical du syndrome des ovaires micropolykystiques dans 2 hôpitaux de la ville de Yaoundéfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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