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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11722
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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.advisorKoki, Godefroy-
dc.contributor.advisorMvilongo Tsimi, Caroline-
dc.contributor.advisorNgo Um épse Sap-
dc.contributor.authorElanga Elanga, Jean Junior-
dc.date.accessioned2024-02-02T09:52:03Z-
dc.date.available2024-02-02T09:52:03Z-
dc.date.issued2022-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/11722-
dc.description.abstractIntroduction Les amétropies sont des anomalies de la réfraction secondaires à une mauvaise mise au point de l’image sur la rétine. Les amétropies ou vices de réfraction non corrigés constituent un réel problème de santé publique car reconnues comme cause de malvoyance curable par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Elles sont inclues dans la charte de la vision visant à les réduire de moitié d’ici 2020. Chez l’enfant scolarisé, elles représentent une des causes les plus fréquentes de baisse de l’acuité visuelle et occasionnent des troubles du comportement voire des retards scolaires. La prévalence des amétropies chez l’enfant varie considérablement selon les études, la tranche d’âge et la méthode d’examen. Le diabète est à l’origine de plusieurs complications organiques et fonctionnelles parmi lesquels les complications oculaires. La quasi-absence des travaux en notre possession sur les vices de réfraction des enfants diabétiques nous donne l’opportunité d’essayer de déterminer les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques de ces vices de réfraction chez les enfants diabétiques camerounais. Méthodologie Il s’agissait d’une étude cas témoins à collecte de données prospective, réalisée durant 4 mois (15 janvier 2022 au 30 MAI 2022) à l’Hôpital Central de Yaoundé et au CME Chantal Biya. Etaient inclus, les patients diabétiques de type 1 âgés de 0 à 21 ans, et dont le parent ou le tuteur avait consenti à participer à l’étude. Les variables étudiées étaient : l’âge, le sexe, le niveau scolaire, les antécédents ophtalmologiques et médicaux, l’acuité visuelle, la réfractométrie automatique. Les données étaient saisies et analysées grâce aux logiciels IBM-SPSS version 25.0. Nous avons recherché l’association entre les variables à l’aide du test du khi-carré. Une valeur p < 0,05 était considérée comme statistiquement significative. Résultats Nous avons recruté 40 enfants diabétiques et 40 enfants sains pour 162 yeux. Le sex-ratio était de 1,22 pour les cas et 1,27 pour les témoins soit 55% et 56,1% d’hommes. La moyenne d’âge de notre série était de 14,40 ± 3,72 dans chacun des deux groupes, avec des extrêmes qui variaient entre 4 et 21 ans. L’astigmatisme hypermétropique composé était l’amétropie la plus rencontrée avec 48,57% chez les cas et 43,33% chez les témoins. Cette différence n’était statistiquement pas significative L’hypermétropie était retrouvée chez 31,43% d’enfants diabétiques et 23,33% chez les témoins. Cette différence était statistiquement significative. La prévalence des vices de réfraction dans notre étude était respectivement de 87,5 chez les cas et 73,2% chez les témoins. Elle était plus importante chez les enfants diabétiques comparés aux enfants non diabétiques. Conclusion Les vices de réfraction sont plus fréquents chez les enfants diabétiques que non diabétiques.fr_FR
dc.format.extent117fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectVices de réfractionfr_FR
dc.subjectMother and Child Centerfr_FR
dc.subjectEnfantsfr_FR
dc.titleLes vices de réfraction chez les enfants diabétiques de type 1 camerounaisfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Thèses soutenues

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