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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/11918
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dc.contributor.advisorNgah Ateba, Alice Salomé-
dc.contributor.authorNga Mvodo Atangana, Antoinette-
dc.date.accessioned2024-06-27T13:33:34Z-
dc.date.available2024-06-27T13:33:34Z-
dc.date.issued2023-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/11918-
dc.description.abstractCe travail de recherche porte sur la Révolution des sciences biomédicales et la question de la nature humaine. Réflexion philosophique autour du transhumanisme. Il s’inscrit dans le vaste mouvement révolutionnaire des sciences du vivant. La pratique biomédicale connait une révolution spectaculaire des technosciences biomédicales qui se rapporte à l’ensemble des innovations réalisées en biologie en général et en médecine particulièrement. En permettant de maîtriser les mécanismes de la vie, en ce domaine biomédical, tout procédé vital est exploité, exploré ou expérimenté à tel point que les sciences biomédicales suscitent de nombreuses inquiétudes éthiques et épistémologiques. Jean Bernard dans son ouvrage De la biologie à l’Ethique, Nouveaux pouvoirs de la science, nouveaux devoirs de l’homme expose l’apport de la révolution transhumaniste en biologie et en médecine. C’est sans doute le tournant paradigmatique d’une meilleure compréhension de la « nature humaine » qui entre dans l’histoire contemporaine de la maîtrise du vivant, à laquelle est centrée notre principale préoccupation épistémologique. La conception moderne de la « nature humaine » avec le développement des technosciences, a favorisé la révolution transhumaniste. La négation de l’essence de l’homme anime la réflexion philosophique à porter quelques critiques sur une nécessaire nature humaine compromise aujourd’hui, et remise en question en vue de la corrective. Entre les comportements des hommes jugés de préhumains, d’humains, d’inhumains, de posthumains ou de transhumains, la connaissance de l’être humain qui se distingue des autres espèces animales, par son « esprit », pose deux problèmes épistémologiques : celui de l’essence de l’homme et celui de l’unicité ou des composés humains. Ainsi, de nos jours, le débat pro-scientifique sur la conception cognitive et technoscientifique de l’homme comme « objet » à connaître objectivement surgit sur tous les plans. Suite à cette préoccupation cruciale, la démarche d’investigation épistémologique a permis de parvenir à la connaissance véritable de l’humain. Elle prend conscience de cette réflexion épistémologique axée sur les pouvoirs des révolutions biomédicales et montre qu’il faut dépasser la conception classique et ontologique de la nature humaine. Car les nouvelles technologies, en dépit de leurs insuffisances, nous renseignent mieux sur la composition de l’homme que sur la nature humaine.fr_FR
dc.format.extent349fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectBiologiefr_FR
dc.subjectHumainfr_FR
dc.subjectInhumainfr_FR
dc.subjectMédecinefr_FR
dc.subjectPréhumainfr_FR
dc.subjectPosthumainfr_FR
dc.subjectRévolutionfr_FR
dc.subjectSciencefr_FR
dc.subjectTranshumainfr_FR
dc.titleLa révolution des technosciences biomédicales et la question de la nature humaine.Reflexion philosophique autour du transhumainefr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Thèses soutenues

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