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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/12129
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dc.contributor.advisorMazadou, Oumarou-
dc.contributor.authorSiewe Djiangoue, Franky-
dc.date.accessioned2024-07-10T08:12:08Z-
dc.date.available2024-07-10T08:12:08Z-
dc.date.issued2023-07-27-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/12129-
dc.description.abstractCe travail se propose d’étudier la question de la paix aussi bien dans la sphère nationale que dans la sphère mondiale à partir de la pensée politique de Nicolas Machiavel. L’intérêt pour cette question vient du fait que la violence domine le monde aujourd’hui et que la promotion de la paix se présente davantage comme une urgence. La question des modalités de promotion de la paix se posait déjà à l’époque de Machiavel et se pose encore plus aujourd’hui avec l`accroissement de la violence par les armes nucléaires. Les stratégies mises en place pour préparer l’avènement de la paix ne se sont pas toujours imposées. Elles n’ont pas toujours répondu aux attentes de l’humanité qui, de par de multiples efforts qu’elle fait dans ce domaine, aspire à la paix. Les organisations sous régionales et même la création des Nations Unies au niveau mondial sont autant d’instruments par lesquels la communauté humaine entend promouvoir durablement la recherche collective de la paix. Ces instruments étaient en même temps des espaces d’alliances pacifiques et juridiques entre les États membres, de collaborations stratégiques capables de neutraliser l’ennemi commun. Malgré leur mise en place, le conflit demeure une activité en pleine expansion dans l’espace du monde. De plus en plus les groupes humains se heurtent, fragilisant ainsi l’autorité de l’État. De même, les États se heurtent à la violence des grands entrepreneurs du terrorisme international dont les actes compromettent la paix mondiale. Cela est visible à travers la logique du bellicisme général théâtralisé par les Nouvelles Technologies de l’information et de la Communication. Elles mettent quotidiennement en évidence le caractère global ou omniprésent de la violence dans la mesure où celle-ci affecte toutes les régions du monde. La globalisation perpétuelle de la violence est donc de ce fait l’expression évidente de la crise de la paix. Il est légitime de penser que la récurrence des conflits intra ou inter étatiques, en plus de l’inefficacité des instruments chargés de promouvoir la paix sociale, peut aussi être à l’origine des causes qui demeurent jusqu’ici inconnues, voire négligées et sur lesquelles il nous fallait insister. C‟est la raison pour laquelle il nous a semblé opportun de marcher sur les traces de Machiavel afin de chercher à comprendre les raisons qui engendrent les conflits qui compromettent la paix qui fait l’objet d’une aspiration par la communauté humaine. Le choix de Machiavel nous semble pertinent dans la mesure où il est l’un des auteurs dont la réflexion est effectivement centrée sur les causes qui peuvent déstabiliser un État et compromettre sa liberté et sa souveraineté, c’est-à-dire un vivre-ensemble harmonieux de ses citoyens.en_US
dc.format.extent158fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé 1fr_FR
dc.subjectDiplomatie coercitivefr_FR
dc.subjectGuerrefr_FR
dc.subjectLogique de la prédationfr_FR
dc.subjectMachiavelismefr_FR
dc.subjectPaixfr_FR
dc.subjectViolencefr_FR
dc.titleThe concept of peace in Machiavelli’s political thoughtfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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