The rise of social media and the problem of fake news: A reading of Lee Mcintyre’s “post-truth”

Abstract

L’intellect de l’être humain est inquiet jusqu’à ce qu’il trouve la tranquillité dans la vérité. C’est parce que l’homme désire par nature savoir et connaître c’est toujours connaître la vérité. Ainsi, sa nature même abhorre ce qui est faux, bien qu’il puisse lui-même essayer de tromper les autres. C’est pourquoi l’homme depuis l’antiquité a toujours posé des questions, visant à obtenir des réponses, qui sont vraies. Et au cours des siècles, toute tentative de falsification de connaissances a été accueillie par des critiques et du mépris, surtout lorsque l’on le faisait avec l’intention de tromper, d’en faire de fausses nouvelles. Cette falsification de la vérité s’exprime sous différentes formes et dans cette ère moderne et numérique avec les progrès de la technologie, elle s’exprime à travers les plateformes de médias sociaux ou les services en ligne ou Internet. Cela nous amène à la question du jour « L’essor des médias sociaux et le problème des fausses nouvelles : une lecture de la post-vérité de Lee McIntyre ».qui vise à approfondir notre compréhension de la pensée de Lee McIntyre, de la façon dont les médias sociaux ont été mis à la lumière des lampes avec l’avènement des technologies de pointe et de la créativité humaine, pour aider à globaliser le monde, c’est-à-dire : dans la communication réelle sans barrières géographiques, la connectivité sociale, le réseautage, le divertissement, l’éducation en ligne et bien d’autres au profit de l’homme et de la société en général. Malgré ces avantages, les opportunistes ont profité de cette portée mondiale des médias sociaux pour répandre des mensonges (fake news), que McIntyre définit comme, non pas des nouvelles fausses mais des nouvelles intentionnellement fausses, c’est-à-dire que cela doit être fait exprès. De plus, l’utilisation d’algorithmes par les plateformes de médias sociaux, qui permet à l’utilisateur de voir les flux liés aux recherches précédentes, contribue également à aider les fausses nouvelles. Pourquoi produire des fake news? Pourquoi les gens sont-ils enclins aux fausses nouvelles ? Le concept de vérité est-il basé sur la connaissance de la vérité ou est-il indépendant de la vérité de la connaissance ? Les choses que nous voyons et savons être réelles sur les médias sociaux, à la lumière du deepfake avancé, sont-elles réelles ? Et avec le déclin de la vérification et de l’édition, comment sommes-nous censés savoir quelles histoires sont fiables ? Avec la présentation d’histoires traditionnellement vérifiées et vérifiées, ainsi que des mensonges et de la propagande, comment peut-on encore dire ce qui est vrai ? Le principal problème de cette étude est de savoir comment utiliser correctement les médias sociaux afin de mettre fin au problème des fausses nouvelles sur les médias sociaux dans la société contemporaine de post-vérité. Ainsi, nous avons cherché à comprendre les médias sociaux et devons surtout sensibiliser les gens à la réalité du mensonge (fake news) dans la société, au moyen des plateformes de médias sociaux, et des différents moyens et canaux utilisés pour les diffuser, le but des fake news et pourquoi et comment nous pouvons les connaître, afin de ne pas être trompés. Ce faisant, nous recherchons la vérité, détruisant ainsi les fausses nouvelles et remettant la vérité à sa place d’origine. Les méthodes analytiques et déductives, ainsi que la méthode inductive et enfin les méthodes épistémologiques, phénoménologiques, herméneutiques ont été utilisées pour réaliser ce travail de recherche. L’importance de ce travail est qu’il crée une prise de conscience des fausses nouvelles et de leurs conséquences négatives et aide à guider dans le monde numérique pour ne pas en être victime. Il sert de guide aux utilisateurs des médias sociaux, aux organisations des plateformes de médias sociaux et aux décideurs politiques pour faire ressortir les bonnes lois qui respectent et favorisent le progrès. Ainsi, l’idée de McIntyre de l’utilisation raisonnable des médias sociaux pour le bien commun et pour défendre la vérité est indispensable en cette ère de post-vérité.