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https://hdl.handle.net/20.500.12177/4128
Titre: | Le « foyer la source »et sa contribution à la formation intégrale de la jeune fille au Cameroun : 1963 – 2013 |
Auteur(s): | Bikom, Myriam Semour |
Directeur(s): | Mbarga, Jeanne |
Mots-clés: | Foyer La Source Jeune fille Formation 1963 – 2013 |
Date de publication: | 2016 |
Editeur: | Université de Yaoundé 1 |
Résumé: | Notre mémoire de Diplôme de Professeur de l’enseignement Secondaire Deuxième Grade (DIPES II) s’intitule „„Le « Foyer La Source » et sa contribution à la formation intégrale de la jeune fille au Cameroun : 1963Ŕ 2013‟‟. Nous nous sommes engagés à traiter ce sujet dans le souci de faire connaitre le rôle des foyers de jeunes en général et du « Foyer La Source » en particulier dans l’encadrement et la formation de la jeune fille au Cameroun. Ce qui nous a permis de retracer l’historique du « Foyer La Source », d’étudier son organisation, son fonctionnement et surtout de dégager le travail abattu dans ce cadre à travers les produits issus du FLS. En effet, le FLS a été crée en 1963 par les religieuses de la congrégation de Sainte Clotilde et sous l’initiative de Mgr Jean Zoa. Suite à quelques difficultés auxquelles faisait face la Congrégation de Sainte Clotilde, le FLS sera finalement confié en 1985 à une nouvelle congrégation: La Congrégation des Missionnaires Filles de la Sainte Famille de Nazareth qui assure la gestion du foyer jusqu’à nos jours. Durant 50 années, les différentes congrégations qui avaient en charge la gestion du « Foyer La Source » et avec l’aide de l’archidiocèse de Yaoundé ont su contribuer à la formation intégrale de la jeune fille au Cameroun, à travers le cadre de vie propice aux études proposées à ces dernières dans ce village dédié à la jeune fille. De nombreux produits issus de ce creuset témoignent aujourd’hui des bienfaits de cette institution. Toutefois, aucune œuvre humaine n’étant parfaite, nous avons relevé quelques problèmes que connaissent quotidiennement les jeunes filles au sein du FLS. Au regard de tout ce qui est fait pour les jeunes filles au sein du foyer, nous avons trouvé judicieux d’en parler, afin que cette institution soit connue de tous. Et surtout, inciter le gouvernement camerounais à s’engager pour la promotion et l’ouverture de ces milieux de vie consacrés aux jeunes élèves et étudiants camerounais en cours de formation, au moment où les internats qui ont longtemps joué ce rôle sont en pleine disparition. |
Pagination / Nombre de pages: | 112 |
URI/URL: | https://hdl.handle.net/20.500.12177/4128 |
Collection(s) : | Mémoires soutenus |
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