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https://hdl.handle.net/20.500.12177/4198
Titre: | Le lycée Joss et sa contribution à la formation d’une élite intellectuelle au Cameroun : 1954– 2014 |
Auteur(s): | Mouasso, Louisette |
Directeur(s): | Eloundou, Eugène Désiré |
Mots-clés: | Joss Elite intellectuelle Formation 1954– 2014 |
Date de publication: | 2015 |
Editeur: | Université de Yaoundé 1 |
Résumé: | Le travail que nous présentons porte sur “le Lycée Joss de Douala et sa contribution à la formation d’une élite intellectuelle au Cameroun : 1954-2014”. Il s’agit de présenter cette institution et aussi son apport à la formation de l’élite intellectuelle au Cameroun. Cette étude part du constat selon lequel la ville de Douala ne dispose pas avant 1951 d’un établissement secondaire public. Les seuls établissements d’enseignement existant avant cette date sont de type confessionnel et technique. Dans la même période, la population Européenne augmente créant ainsi le besoin d’encadrement à l’intention de leur progéniture pour des enseignements dont le niveau est égal à celui de la métropole. C’est donc ce vide institutionnel qui amène l’administration à ouvrir un établissement d’enseignement général dénommé : le Collège Moderne et Classique Joss en 1951, qui devient en 1954 le Lycée Joss de Douala. De 1954-1974, l’établissement est essentiellement tenu par les administrateurs et les enseignants européens. De 1974 à nos jours, on observe la Camerounisation du staff administratif et personnel enseignant. Le Lycée Joss reste pendant longtemps un établissement prestigieux et sélectif du fait de la qualité de son personnel et des enseignements dispensés. Il a contribué largement à la formation de l’élite intellectuelle camerounaise, qui fait aujourd’hui la fierté de la Nation. Mais, en dépit de l’apport indéniable des produits de cet établissement sur le plan national et international, le Lycée Joss est confronté à certaines difficultés internes et externes, qui entament sérieusement sa notoriété d’antan, d’où l’urgence de tenir compte des solutions identifiées au cours de cette étude afin de redorer le blason de ce pôle de formation de la jeunesse camerounaise. |
Pagination / Nombre de pages: | 120 |
URI/URL: | https://hdl.handle.net/20.500.12177/4198 |
Collection(s) : | Mémoires soutenus |
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