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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/4208
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dc.contributor.advisorNdobegang, Micheal-
dc.contributor.authorToko, Laurence-
dc.date.accessioned2021-08-31T09:15:46Z-
dc.date.available2021-08-31T09:15:46Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/4208-
dc.description.abstractLe projet d’organisation territoriale au Cameroun basé sur l’initiative de morcellement du territoire national en plusieurs unités administratives pour rapprocher l’administration des administrés, n’est pas resté figé. Il a évolué de la période coloniale française à la période post colonial (1927-2008), en laissant des conséquences énormes sur l’existence de certaines communautés locales en général et les Bayon en particulier. D’où la préoccupation fondamentale de ce travail qui permet de découvrir la division administrative comme un facteur de fragilisation de la communauté Mbo de Bayon. Il ressort que la fragmentation du territoire en plusieurs circonscriptions administratives depuis la période coloniale française à nos jours, n’est pas toujours liée au souci de rapprocher l’administration des administrés. Dans la mésure où la division administrative était utilisée par l’administration coloniale française dans certaines circonstances comme une stratégie pour affaiblir certaines communautés ethniques ou tribales qui s’opposaient à l’ordre colonial. Car, la fixation de la frontière administrative entre les subdivisions de Bafang et Moungo sur la rivière Nkam était un moyen de séparer les Mbo de la rive gauche de leurs frères de la rivve droite. Ce qui causa la déchirure de l’aire culturelle Mbo en faisant de ceux-ci le groupe ethnique minoritaire de l’Ouest- Cameroun. Toutefois conscient du fait que, l’organisation administrative du Cameroun indépendant est une continuité du système colanial, certaines élites politiques vont se servir du découpage administratif comme un instrument de conquête des zones d’influences politiques. Ce morcellement du territoire à tort et à travers dans les bureaux par les autorités, sans une étude sur le terrain est la source de plusieurs conflits intercommunautaires au Cameroun. C’est l’origine principale du conflit foncier, territorial et ethnique entre les Mbo de Bayon et les Bamiléké Banwa de Fomessa II.fr_FR
dc.format.extent133fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectCommunauté Mbo de Bayonfr_FR
dc.subjectAdministration coloniale françaisefr_FR
dc.subjectOrganisation administrative du Cameroun indépendantfr_FR
dc.subjectOuest- Camerounfr_FR
dc.titleDivision administrative et communautés locales au cameroun : cas des Mbo de Bayon dans la région de Kékem (1927-2008).fr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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