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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/4214
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dc.contributor.advisorNkongmeneck, Bernard-Aloys-
dc.contributor.authorSouare Konsala-
dc.date.accessioned2021-08-31T09:59:08Z-
dc.date.available2021-08-31T09:59:08Z-
dc.date.issued2015-03-04-
dc.identifierhttp://10.4.3.254:8080/Documents%20and%20Settings/Administrateur/Bureau/These%20&%20mmemoire%20Num/FS/FS_These_BC17_0041.pdffr_FR
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/4214-
dc.description.abstractLe parc national du Mbam et Djerem est situé dans une zone de transition forêt-savane, un corridor de grand intérêt pour la conservation de la biodiversité. Sa périphérie a une superficie de 1 148 170, 887 ha et abrite d’importantes espèces ressources des produits forestiers non-ligneux végétaux dont la gestion durable fait partie des objectifs prioritaires du projet d’établissement de l’aire protégée. L’objectif général de ce travail est la gestion intégrée des espèces ressources clés des produits forestiers non-ligneux végétaux de la périphérie du parc national du Mbam et Djerem. La méthode d’évaluation rurale participative et l’étude de marchés ont permis la collecte des données socio-économiques. La méthode des transects a été utilisée pour la collecte des données écologiques. Sept transects de 1 ha chacun sont installés à l’intérieur et à la périphérie du parc. Les résultats montrent que la couche sociale comprise entre 15 et 60 ans (96 %) constitue la principale main-d’œuvre dans la collecte des PFNL. 67 espèces utilisées par les populations locales sont identifiées. Les PFNL les plus importants sont les produits alimentaires (40,29 %), les médicaments (22,38 %) et les produits utilisés comme bois de services (20,89 %). Xylopia aethiopica, Beilschmiedia anacardioides et B. jacques-felixii sont les espèces clés de la région. Les produits commercialisés contribuent entre 68 et 85 % aux revenus de ménages des riverains. Les commerçants tirent plus de profits que les producteurs (t-test, p < 0,001). Beilschmiedia anacardioides et B. jacques-felixii sont protégées par les paysans dans leurs champs. L’exploitation de X. aethiopica se fait par abattage systématique des tiges, mettant en péril sa régénération naturelle dans le sous-bois et modifie la structure et la composition floristique des communautés végétales; 15,5 ± 5,5 tiges ha-1 sont coupées dans les sites d’exploitation. Les graines de X. aethiopica mises en germination ont donné un taux de germination et survie (Tgs) de 52,2 %, avec une bonne croissance des plants. L’inventaire floristique a permis d’identifier 99 espèces réparties dans 36 familles et 96 genres. Les sites non perturbés ont des valeurs d’indice de diversité de Shannon et d’équitabilité élevées (H > 3,5 bits; EQ > 0,6). Ces valeurs sont faibles sur les sites perturbés (H < 3,5 bits; EQ ≤ 0,6). X. aethiopica est l’une des espèces les plus dominantes de la région (IVI = 16,40; RI = 42,85 %); B. anacardioides et B. jacques-felixii sont faiblement représentées dans la zone d’étude (IVI < 1; RI > 80 %).fr_FR
dc.format.extent144fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectParc national du Mbam et Djeremfr_FR
dc.subjectEspèces ressources clésfr_FR
dc.subjectProduits forestiers non- ligneuxfr_FR
dc.subjectBiodiversitéfr_FR
dc.subjectGestion durablefr_FR
dc.titleGestion intégrée des espèces ressources clés des produits forestiers non-ligneux végétaux au Cameroun: cas de la périphérie du parc national du Mbam et Djeremfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Thèses soutenues

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