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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/4479
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dc.contributor.advisorAmana, Evelyne-
dc.contributor.authorAvoulou Ndo, Liliane-
dc.date.accessioned2021-09-06T10:03:39Z-
dc.date.available2021-09-06T10:03:39Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/4479-
dc.description.abstractCette recherche porte sur le thème Stratégies d’adaptation sociale et ajustement au choc culturel chez les adolescents réfugiés du secondaire. Elle part d’un constat selon lequel, ces élèves ne parviennent pas à interagir efficacement avec les autres à l’école. Adoptant une attitude de retrait ou de repli sur soi, ils évitent de se mêler au reste du groupe, ou préfèrent se renfermer au sein de cercles communautaires circonscrits. A côté de ces difficultés sociales, ils enregistrent également de nombreuses heures d’absence, et sont sujets au décrochage scolaire ( Plan Cameroun, 2014). Ce manque d’ouverture aux autres semble trouver sa source dans la distance interculturelle, qui les maintient éloignés du collectif. Cette attitude traduit en réalité un état d’anxiété, lié à la confrontation à l’autre culturellement différent, et la littérature anthropologique désigne ce phénomène sous le vocable de choc culturel. L’hypothèse que nous formulons est donc que les adolescents réfugiés du secondaire, qui développent des stratégies d’adaptation s’ajustent mieux au choc culturel. Pour vérifier cette hypothèse, nous avons sur le plan théorique, défini les concepts clés puis exposé la littérature relative aux principaux thèmes de la recherche que sont, l’adaptation sociale et l’ajustement au choc culturel, et enfin nous avons développé les théories de Boudon sur l’adaptation et de Cyrulnik sur la résilience, explicatives de notre sujet. Sur le plan opératoire, nous avons mené des entretiens auprès de cinq élèves du lycée bilingue de Nkol-Eton, population-mère de notre recherche. Les résultats ont fait l’objet de traitement grâce à l’analyse de contenu et d’interprétation, ce qui nous a permis de formuler des suggestions aux différentes parties en charge de l’encadrement des élèves réfugiés. Il ressort des résultats des entretiens que seuls deux élèves sur cinq parviennent mieux à s’accommoder à la nouvelle culture, en développant de bonnes interactions avec les enseignants, et les pairs. Ces actions contribuent à leur intégration au sein du groupe social. Par ailleurs, Ils confortent leur sentiment d’appartenance au groupe en renforçant l’estime de soi, l’image qu’ils ont des autres et leur tolérance à l’ambigüité. Autant d’actions qui interpellent les fonctions affectives et cognitives, et ce qui nous permet de valider l’hypothèse de recherche.fr_FR
dc.format.extent95fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectAdaptation socialefr_FR
dc.subjectChoc culturelfr_FR
dc.subjectAdolescents réfugiésfr_FR
dc.subjectLycée Bilingue de Nkol-Etonfr_FR
dc.titleStratégies d’adaptation sociale et ajustement au choc culturel chez les adolescents réfugiés du secondaire : Etude menée au Lycée Bilingue de Nkol-Etonfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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