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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/4521
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dc.contributor.advisorMakani, Antoine Guillaume-
dc.contributor.authorFeukeu Ngniami, Néri-
dc.date.accessioned2021-09-06T13:25:49Z-
dc.date.available2021-09-06T13:25:49Z-
dc.date.issued2019-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/4521-
dc.description.abstractLa réflexion qui est menée dans ce travail, porte sur le sujet : enseigner, apprendre les interférences linguistiques selon l’APC : cas de Temps de chien de Patrice Nganang. Il serait judicieux de noter que l’enseignement d’une langue étrangère ne peut être examiné que comme une forme d’échange communicationnel qui est mise en contact par des systèmes linguistiques et des variables touchant tant à la psychologie de l’individu, qu’à un fonctionnement social en général. On se dispose donc à apprendre une langue, on l’acquiert, et on la pratique dans un contexte biologique, biographique et historique dont la langue maternelle de l’apprenant peut influencer très fortement sur la langue apprise et jouer un rôle tout particulier sur les problèmes de sémantique, de syntaxe et de pragmatique. Cette acquisition par l’apprenant se fait donc par la mise en place des stratégies et des opérations linguistiques qu’il applique à travers les ressources de son raisonnement. Il s’érige en cela, la question de savoir si les interférences linguistiques peuvent contribuer au dynamisme, à l’enrichissement de la langue française et de surcroit à une stratégie d’apprentissage efficace et améliorative par l’enseignant vis-à-vis des apprenants. Les parties théoriques de ce travail prennent le soin de présenter d’une part les interférences linguistiques dans leur globalité et particularité et d’autre part, une partie quelque peu pratique mais tout à fait procédurale qui permet d’insister sur la mise en exergue de l’enseignement/apprentissage du français en dépit des interférences. Les parties pratiques quant à elles, donnent au moyen de Temps de chien, une illustration ou mieux encore un relevé, un dépouillement d’éléments textuels pour mieux étayer les différentes caractéristiques des interférences linguistiques. Pour terminer, nous aurons la lecture d’un extrait de texte choisi, ceci par le biais de la méthode pédagogique et didactique, qu’est l’APC. D’où le constat selon lequel l’étude de cette dernière à travers les œuvres nationales nous permet de répertorier les difficultés linguistiques liées à notre situation géographique en nous mettant au cœur de notre identité culturelle particulièrefr_FR
dc.format.extent98fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectEnseignerfr_FR
dc.subjectApprendrefr_FR
dc.subjectInterférences linguistiquesfr_FR
dc.subjectAPCfr_FR
dc.subjectDifficultés linguistiquesfr_FR
dc.titleEnseigner, apprendre les interférences linguistiques selon l’APC : cas de temps de chien de Patrice Nganangfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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