DICAMES logo

Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/4649
Affichage complet
Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.advisorNyemb, Bertin-
dc.contributor.authorDjeukui Fopoussi, Begin Laurence-
dc.date.accessioned2021-09-09T09:21:01Z-
dc.date.available2021-09-09T09:21:01Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/4649-
dc.description.abstractDe nos jours l’humanité fait face à un phénomène appelé la mondialisation. Ce phénomène tire ses origines des nombreux mouvements migratoires libres ou contraints qui ont poussé les hommes à vivre ensemble et à partager leurs cultures. Le roman d’Emine Sevgi Özdamar ‘le pont à la corne d’or’ met scène la rencontre entre deux peuples de cultures différentes et montre à suffisance que la vie en harmonie avec les hommes d’horizons culturels, de religions et de croyances différents ne fait pas toujours l’unanimité. Elle est sujette à des conflits et défis de toute sorte qui restent tout de même surmontables. Le présent travail scientifique intitulé « stratégies et limites de l’apprentissage interculturel dans le roman d’Emine Sevgi Özdamar ‘le pont à la corne d’or’ apporte une modeste contribution et propose des stratégies de réduction des conflits interculturels, moyens de préservation de la paix entre les hommes et les peuples aussi longtemps que les hommes en dépit de leurs différences sont appelés à vivre ensemble. Ce travail s’articule autour de deux questions fondamentales: Quelles sont les stratégies à développer par les hommes dans un monde globalisé pour un apprentissage interculturel objectif et efficace, condition sinéquanon de tout progrès et enrichissement mutuel véritable? Quels sont les comportements, idéologies et tendances à dépasser de nos jours pour un apprentissage interculturel exempt de préjugés et favorisant la paix internationale? Après une analyse minutieuse du roman, il ressort que l’apprentissage interculturel à l’exemple de certains personnages est un processus par lequel l’individu cherche à dépasser les barrières de sa culture pour se forger une identité non pas pure, mais multiforme empreinte des savoirs, savoir-être et savoir-faire des peuples de cultures différentes. La culture, loin d’être un ensemble fermé et statique est flexible et muable dans le temps et l’espace. Elle comporte des aspects positifs et ceux négatifs ; elle reste digne d’être améliorée et perfectionnée à travers l’ouverture aux autres, la compétence linguistique, la tolérance et l’esprit critique. Dans ce travail, force a été de démontrer à la lumière des attitudes des personnages mis en scène dans le roman que l’apprentissage interculturel n’est pas un travail d’assimilation c’est-à-dire une acceptation servile et naïve d’une culture étrangère mais bien plus un échange réfléchi d’éléments culturels. C’est pourquoi, nous pensons que promouvoir la littérature interculturelle dans le cadre de l’enseignement de l’Allemand serait pour les apprenants un excellent moyen d’acquérir des valeurs et de développer des compétences interculturelles.fr_FR
dc.format.extent85 Pagesfr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé 1fr_FR
dc.subjectCulturefr_FR
dc.subjectInterculturalitéfr_FR
dc.subjectApprentissage interculturelfr_FR
dc.subjectLitteraturefr_FR
dc.subjectEnseignementfr_FR
dc.subjectValeurs et compétences interculturellesfr_FR
dc.titleErscheinungsformen und grenzen des interkulturellen lernens in emine sevgi özdamars die brücke vom goldenen hornfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
ENS_2016_mem_0417.pdf1.09 MBAdobe PDFMiniature
Voir/Ouvrir


Tous les documents du DICAMES sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.