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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/4766
Titre: L’écriture postcoloniale dans le roman africain francophone: le cas de les chauves-souris de Bernard Nanga
Auteur(s): Germaine Mengue, Alice
Directeur(s): Guiyoba, François
Mots-clés: Littérature Comparé
Postcolonialité
Colonisation
Hybridité
Fait Colonial
Date de publication: 2019
Editeur: Université de Yaoundé I
Résumé: Tout en menant nos recherches dans le domaine des études postcoloniales, nous tentons de démontrer dans ce travail que Les Chauves-souris de Bernard NANGA est une œuvre à caractère postcolonial. Pour se faire, nous sommes partie de la question suivante en guise de problème : En quoi le roman Les Chauves-souris est-il une œuvre postcoloniale ? Comme hypothèse générale nous avons dit que notre roman est une œuvre à caractère postcolonial dans la mesure où la société qu’elle peint est en proie aux tares hérités de la colonisation. Ceci nous conduit à une problématique construite autour de quatre questions essentielles dont : Qu’est- ce qu’une œuvre postcoloniale ? Qu’est-ce que Les Chauves-souris ? À quoi renvoie la notion de peinture dans Les Chauves-souris ? Et enfin, quelles sont les tares coloniales dont le roman de Bernard NANGA fait la peinture? Ainsi, en aidant de l’histoire littéraire, de la narratologie et l’Arti alité nous allons donner des éléments de réponses à ces interrogations. C’est pourquoi nous avons construit notre plan autour de quatre grandes articulations à savoir : l’œuvre postcoloniale ; l’approche intégrale de l’œuvre en tant que roman ; Les Chauves-souris comme une peinture de la réalité narrée et enfin les tares de la colonisation dans Les Chauves-souris. De ce fait, De cette analyse du texte, il ressort donc que le roman de Bernard NANGA est une œuvre postcoloniale parce qu’elle nous présente les réalités de la société d’Eborzel qui porte en elle les séquelles de la colonisation. Cette dernière est donc sous l’emprise du mal colonial. En effet, à travers l’analyse des indices du texte, l’auteur nous révèle que Les Chauves-souris obéit à la nomenclature des œuvres de la post colonie en ceci qu’elle présente une société hybride c’est-à-dire que les « Eborzeliens » font montre d’un métissage d’ordre culturel. Situés entre la culture occidentale et la culture traditionnelle locale, les individus originaires d‟Eborzel se retrouvent partagés entre ces deux univers ; d’où leur hybridité.
Pagination / Nombre de pages: 83
URI/URL: https://hdl.handle.net/20.500.12177/4766
Collection(s) :Mémoires soutenus

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