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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/5046
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dc.contributor.advisorFoaleng, Michel-
dc.contributor.authorEnama, Martin Olivier-
dc.date.accessioned2021-09-21T15:29:35Z-
dc.date.available2021-09-21T15:29:35Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/5046-
dc.description.abstractDevant une situation d’échec scolaire ou de baisse de niveau à l’école primaire marquée par la pratique de la promotion collective au Cameroun, très souvent, ce sont les élèves qui sont les principaux coupables : « ils sont faibles, ils n’apprennent pas !» Et jamais ou alors rares sont les fois où l’enseignant est montré du doigt parce que n’ayant pas suffisamment aidé l’élève à réussir, à progresser en corrigeant ses lacunes, en rectifiant des erreurs commises dans le processus enseignement/apprentissage dans un contexte camerounais caractérisé par l’adoption au primaire des méthodes pédagogiques actives comme l’APC où les activités de remédiation ont été prévues afin de réduire les échecs et les redoublements scolaires. La présente recherche traite de la problématique relative à la conduite et l’efficacité des activités de remédiation à l’école primaire en partant d’un cas spécifique à savoir celui de l’école publique du Centre administratif à Yaoundé ; mais dont les résultats peuvent être généralisés à l’ensemble des écoles primaires du Cameroun où les pratiques sont presque similaires. Il s’agit de savoir comment sont conduites les activités de remédiation par les enseignants du primaire et si telles que conduites, celles-ci peuvent être efficaces. Dans une démarche qualitative de type exploratoire, nous avons procédé à des recherches documentaires afin de faire ressortir les écrits pertinents ayant trait à notre thème de recherche. Aussi, avons-nous tenu à préciser les différentes approches conceptuelles et théoriques. Par la suite, nous avons procédé au choix de la population d’étude et de l’échantillon. Ainsi, les observations des enseignants en pratique ont été faites et les entretiens menés avec certains enseignants titulaires des classes, certains responsables d’école et des inspecteurs pédagogiques avec pour but d’examiner les pratiques en matière de remédiation. Il ressort des résultats obtenus dans cette étude que les activités de remédiation sont mal conduites par les enseignants du primaire qui ne connaissent pas pour la plupart le concept lorsqu’ils ne le confondent pas à la révision. Dans certains cas, la démotivation des enseignants quant à la bonne conduite de ces activités dans leurs salles de classe parce que « difficiles » et sans rémunération, explique la prolifération des cours de répétition payants donnés par les enseignants à leurs propres élèves et où la démarche est à peu près celle attendue lors du déroulement de la remédiation. Et par conséquent, ces activités sont inefficaces malgré le fait qu’elles sont pourtant considérées par la majorité des enseignants comme une aide non négligeable apportée à l’amélioration des performances scolaires d’où la nécessité de les revaloriser comme ce fut le cas jadis.fr_FR
dc.format.extent132fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé 1fr_FR
dc.subjectActivités de remédiationfr_FR
dc.subjectÉcoles primaires du Camerounfr_FR
dc.subjectAmélioration des performances scolairesfr_FR
dc.subjectCours de répétitionfr_FR
dc.titleConduite des activités de remédiation et efficacité de celles-ci au primaire : Cas de l’école du Centre Administratif à Yaoundé.fr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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