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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/5230
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dc.contributor.advisorDzounesse Tayim, Bruno-
dc.contributor.authorOumarou, Aïchatou-
dc.date.accessioned2021-10-01T10:54:49Z-
dc.date.available2021-10-01T10:54:49Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/5230-
dc.description.abstractLa présente étude porte sur les facteurs motivationnels et le choix des études juridiques. Nous sommes partis du constat selon lequel, malgré le taux de chômage élevé chez les diplômés de l’enseignement supérieur en général, et, ceux des sciences juridiques, en particulier, depuis plusieurs années la plupart des étudiants continuent à s’inscrire dans la filière science juridique. Les effectifs durant ces cinq dernières années le prouvent et s’accroissent d’années en années. Bien plus, cette filière a plutôt fait l’objet d’extension dans trois régions du pays avec pour site de localisation : Bertoua, Ebolowa et Garoua. L’ouverture des facultés de droit dans ces villes est due à la recherche d’une profession valorisée par la société. Or, les analyses des auteurs tels que Gottfredson (1981), Kokosowski (1985) et Deci et Ryan (1985, 1991) ont établi les raisons de cet accroissement des étudiants dans ces filières. Théoriquement, ils ont démontré que ce phénomène dépend de la prise en compte de quelques facteurs motivationnels : le prestige associé à une profession, le type de baccalauréat et l’amour lié aux études dans une filière particulière. L’objectif de cette recherche est de vérifier le rapport entre les facteurs motivationnels et le choix des études juridiques chez les étudiants. Ainsi, la question centrale pour orienter la recherche est la suivante : les facteurs motivationnels déterminent-ils le choix des études juridiques chez les étudiants ? La réponse à cette question qui a constitué l’hypothèse générale s’énonce de la manière suivante : les facteurs motivationnels déterminent le choix des études juridiques chez les étudiants. Pour éprouver cette hypothèse, la recherche s’est adressée à un échantillon constitué de 96 étudiants fréquentant tous l’université de Yaoundé II Soa. Cet échantillon a été obtenu en appliquant la technique d’échantillonnage du sondage aléatoire systématique avec définition de quotas. Les données collectées auprès des participants, à l’aide du questionnaire ont été analysées par le Khi carré et le modèle économétrique de probit simple grâce aux logiciels SPSS et EXCEL. Les résultats obtenus laissent apparaitre que les deux outils d’analyse ne convergent pas aux mêmes résultats. Ainsi, pour ce qui est du khi carré, le prestige lié à la profession est le seul facteur qui a un lien significatif avec le choix des études juridiques. Concernant le modèle probit simple, le type de baccalauréat et l’amour de la filière ont un impact sur le choix des études juridiques. Le modèle est confirmé à 81%. Ainsi, avons-nous proposé l’approche orientante mettant l’accent sur la réussite et la qualificationfr_FR
dc.format.extent98fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectFacteurs motivationnelsfr_FR
dc.subjectEtudes juridiquesfr_FR
dc.subjectUniversité de Yaoundé IIfr_FR
dc.subjectSoafr_FR
dc.titleFacteurs motivationnels et choix des études juridiques : cas des étudiants de première année de l’université de Yaoundé II Soafr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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