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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/5467
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dc.contributor.advisorMvondo, Wilfried-
dc.contributor.authorDeli, Samuel-
dc.date.accessioned2021-10-14T14:30:11Z-
dc.date.available2021-10-14T14:30:11Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/5467-
dc.description.abstractCette monographie intitulée “Mémoire et identité dans Arde el monte de noche de Juan Tomás Ávila Laurel”, est une analyse de l’œuvre dans une perspective d’évocation du passé récent et la construction d’une identité annobonaise, équato-guinéenne, voire africaine. Il s’agit de montrer la transcendance de la mémoire dans la construction de l’identité culturelle. En plus, il est question de montrer comment Ávila Laurel inscrit la reconstitution de l’histoire de l’île d’Annobon dans la dynamique de la construction d’une identité propre. La problématique qui sous-tend cette recherche est la suivante: Quelle relation la mémoire entretient-elle avec l’identité culturelle dans Arde el monte de noche? Cette problématique génère l’hypothèse centrale ci-après: la mémoire féconde le processus de reconstruction d’une identité culturelle africaine qui est restée dans l’oubli et l’indifférence. Prenant appui sur l’approche sociocritique de Montpellier III, notamment les postulats de Cros, l’on a structuré ce travail en trois chapitres. Le premier sert d’espace à l’analyse de l’œuvre dans ses aspects discursifs, c’est-à-dire, l’analyse des médiations discursives. Ce chapitre présente le sujet de la mémoire de l’œuvre à travers la figure du narrateur-protagoniste, celui-ci s’appuyant sur les autres personnages pour reconstruire la vie et l’histoire de l’ile d’Annobon. Le deuxième chapitre est dédié à l’étude des clés significatives organisées autour de l’oppression politique et l’exploitation, l’isolement géographique et politique et l’héritage colonial à travers les institutions religieuse et éducative. Dans le dernier chapitre, l’on dégage la vision du monde de l’auteur à travers la lecture des inscriptions idéologiques. Les idéologies sous-jacentes permettent d’entrevoir l’œuvre comme une recherche de l’identité culturelle annobonnaise que l’auteur brandit, une dénonciation du tribalisme tributaire de la politique étatique du régime en vigueur, une dénonciation du Postcolonialisme et un plaidoyer contre la dictature. La mémoire est donc un moyen qui permet de mettre la lumière sur l’identité de l’équatoguinéen à partir du passé.fr_FR
dc.format.extent90fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectMémoirefr_FR
dc.subjectIdentitéfr_FR
dc.subjectConstructionfr_FR
dc.subjectDictaturefr_FR
dc.titleMemoria e identidad en arde el monte de noche (2009) de Juan Tomás Avila Laurelfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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