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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/5539
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dc.contributor.advisorNkam Tchouobiap, Serges Eric-
dc.contributor.authorNoupeyi domgueu, Stephane-
dc.date.accessioned2021-10-19T14:48:53Z-
dc.date.available2021-10-19T14:48:53Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/5539-
dc.description.abstractLes multiples travaux menés dans le domaine de la physique consacré aux sciences des matériaux ont conduit à la découverte de l’existence de la ferroélectricité dans les monocouches ferroélectriques d’épaisseurs comprises entre 5 et 17 Å. De même les propriétés ferroélectriques sont découvertes dans les films ultra-minces ayant la structure pérovskite d’épaisseur 12 Å. D’autre part, la conception du mode mou de Ginzburg pour les ferroélectriques displacives suppose l’existence d’un mode de basse fréquence ω0 de vibration. De se faire en exploitant simultanément le mé- canisme de transition de phase ferroélectrique et le mode mou de vibration, nous trouvons l’épaisseur critique lr du film ferroélectrique ultra–mince en considérant dans l’énergie libre de Gibbs respectivement l’expression d’ordre quatre B 4 P4 et le champ de dépolarisation Ed ; Nous montrons également que dans ces deux cas, le mode mou n’existe pas dans les films ultra-minces ferroélectriques.fr_FR
dc.format.extent66fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectThéoriefr_FR
dc.subjectFerroélectricitéfr_FR
dc.subjectMode mou de ginzburgfr_FR
dc.titleThéorie de la ferroélectricité et conception du mode mou de ginzburg renormalisé dans les films ultra-mincesfr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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