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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/7383
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dc.contributor.advisorMimche, Honoré-
dc.contributor.advisorNzameyo, Rodrigue-
dc.contributor.authorNgono Lekoa, David-
dc.date.accessioned2022-02-25T11:31:42Z-
dc.date.available2022-02-25T11:31:42Z-
dc.date.issued2020-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/7383-
dc.description.abstractFondée sur la relation entre l’analyse du travail de l’enseignant et la construction des compétences professionnelles, cette étude examine le processus de professionnalisation des élèves-professeurs au département de philosophie de l’ENS de Yaoundé. Un regard sur la réalité de la formation au métier d’enseignement au sein de cette institution, relève un certain nombre de facteurs discordants qui impactent négativement l’efficacité des professionnels qu’elle produit dans l’exécution des tâches relevant de l’enseignement et de l’apprentissage de la philosophie. Cette étude se propose de dévoiler de façon expérimentale, ce qui est à l’origine de certaines imperfections des enseignants débutants dans la conception et dans la conduite des situations didactiques. Du point de vue de l’un des plus importants spécialistes de la didactique professionnelle, Pierre PASTRE : la construction des compétences professionnelles en situation de formation ne peut être possible que si le dispositif mise en place tire son organisation et son fonctionnement de l’analyse du travail réel en entreprise ou sur le terrain. En d’autres termes, on ne peut véritablement professionnaliser dans le contexte de la formation initiale, que si et seulement si on donne à l’apprenant des connaissances nécessaires à l’exécution des tâches professionnelles qui structurent le métier qu’il s’apprête à exercer. Motivé par cette idée, nous nous sommes rendu compte que le processus de professionnalisation des enseignants de philosophie à l’ENS de Yaoundé ne tient véritablement pas compte des exigences de l’analyse du travail de l’enseignant. À partir d’une enquête menée auprès de vingt-deux (22) élèves professeurs finissants, huit (08) inspecteurs pédagogiques, onze (11) encadreurs-PLEG et cinq (05) formateurs permanents de l’ENS, nous sommes arrivés à la conclusion selon laquelle il y a effectivement inadéquation entre les exigences du métier d’enseignant et les connaissances théoriques fournies à l’ENS. D’où la médiocrité des élèves-professeurs en situation d’enseignement lors du stage pratique. Nous nous sommes particulièrement focalisés sur la partie pratique de la professionnalisation des enseignants au département de philosophie de l’ENS pour dévoiler le degré de cette inadéquation. Ainsi, cette étude montre que la construction des compétences professionnelles, au cours de la formation initiale, doit se fonde principalement sur les exigences du métier d’enseignant que montre l’analyse du travail. Pour produire des enseignants professionnellement compétents, il faut réorganiser notre dispositif de formation sur la base de l’analyse du travail de l’enseignant sur le terrain.fr_FR
dc.format.extent169fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectProfessionnalisationfr_FR
dc.subjectElèves-professeursfr_FR
dc.subjectDépartement de philosophiefr_FR
dc.subjectl’ENS de Yaoundéfr_FR
dc.titleAnalyse du travail de l’enseignant et construction des compétences professionnelles par les élèves - professeurs du département de philosophie de L’ENS de Yaoundé Ifr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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