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Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://hdl.handle.net/20.500.12177/7633
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dc.contributor.advisorMgbwa, Vandelin-
dc.contributor.authorNga-Fouda, Line Nelly Candide-
dc.date.accessioned2022-03-03T12:56:32Z-
dc.date.available2022-03-03T12:56:32Z-
dc.date.issued2015-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12177/7633-
dc.description.abstractCette étude répond à la question principale de recherche suivante : Quels sont les facteurs qui augmentent le temps d’engagement de l’enfant? En effet, les jeunes enfants qui quittent pour la plupart le cadre familial pour la première fois, éprouvent des difficultés à apprendre progressivement leur métier d’élève, un métier qui nécessite attention et concentration. Ces difficultés se traduisent par de nombreux signes de fatigue et de mal être chez l’enfant. Comment aider les jeunes enfants, porteurs de rythmes biologiques et psychologiques à mobiliser leur attention, leur vigilance pour qu'ils rentrent dans les apprentissages ? Les chronos psychologues répondent que cela n’est possible qu’en conciliant deux rythmicités, l’une environnementale (emplois de temps, calendriers scolaires) et l’autre biologique, propre à l’enfant (facteurs environnement + personnels). Tout le problème consiste dès lors à concilier ces deux rythmes, et à proposer des emplois du temps scolaire mais également extrascolaire qui soient en harmonie avec les rythmes de vie de l’enfant. Or, le fonctionnement de l’école, ses aménagements, les pratiques à la maison ont pratiquement toujours résulté des exigences de la société adulte du moment plutôt que de la volonté de respecter l’enfant, son développement et ses rythmes. L’objectif de cette étude est d‘examiner si l’harmonisation des rythmes scolaires facilite l’optimisation de l’apprentissage à l’école maternelle. Pour atteindre cet objectif, la recherche s’est adressée à un groupe humain bien spécifique, les enfants âgés de 4 à 5 ans scolarisés en moyenne section de maternelle, que nous avons obtenue en appliquant la méthode d’échantillonnage à dessein. Ces enfants sont soumis à des tests d’attention (barrage de cibles), à différents moments de la journée : quatre fois par jour (8h, 10h05, 11h45, 12h45, et pendant les jours de classe: lundi, mardi, mercredi, jeudi et vendredi. Pour étudier la durée du sommeil chez nos sujets nous avons utilisé un agenda du sommeil. On l’a mesurée pour les nuits de la semaine de l’expérimentation (lundi/ mardi, mardi/ mercredi, mercredi/jeudi, jeudi/vendredi, vendredi/samedi, samedi/ dimanche, dimanche/ lundi. Les données collectées auprès de ces sujets et traitées par Statistica ANOVA, ont laissé apparaître des effets statistiquement significatifs. Les performances attentionnelles fluctuent différemment selon les moments de la journée et les jours de la semaine. Par ailleurs, les durées de sommeil nocturne fluctuent au cours de la semaine différemment selon l’emploi du temps hebdomadaire. C’est dire que l’optimisation des performances attentionnelles de l’enfant-élève de 4 à 5 ans dépend d’un ensemble de facteurs qu’il faut articuler : le rythme veille/sommeil et les rythmes journaliers et hebdomadaires de l’activité intellectuelle.fr_FR
dc.format.extent142fr_FR
dc.publisherUniversité de Yaoundé Ifr_FR
dc.subjectTemps d’engagementfr_FR
dc.subjectEnfantfr_FR
dc.titleHarmonisation des rythmes scolaires et optimisation de l’apprentissage à la maternellefr_FR
dc.typeThesis-
Collection(s) :Mémoires soutenus

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